Tiens donc, Thom Yorke qui monte un groupe avec Jonny Greenwood, fabuleux guitariste et comparse de toujours au sein de Radiohead, alias le plus grand groupe de rock de ces 30 dernières années et Tom Skinner, batteur des aventureux Sons of Kemet. On ne se pose même pas la question de la qualité musicale du résultat. Les gars ne sont pas habitués à décevoir. The Smile, drôle de nom, pour des artistes pas franchement connus pour la gaudriole. Vous entendrez tout à propos de ce "A Light For Attracting Attention" : que c'est le meilleur disque des membres de Radiohead en dehors de Radiohead, que c'est carrément le dixième disque de Radiohead. C'est sans doute vrai, mais peu importe. L'essentiel est de tenir une fois de plus, un compagnon au long cours, car même si on finit par connaître par coeur cette musique, elle continue de nous subjuguer et il faut y revenir de nombreuses fois pour en saisir toutes les subtilités - écoute au casque obligatoire. La production de Nigel Goodrich fait à nouveau merveille. Elle semble en tout cas beaucoup plus adaptée à Radiohead qu'à Arcade Fire (cf. Leur dernier disque).
Tiens donc, Thom Yorke qui monte un groupe avec Jonny Greenwood, fabuleux guitariste et comparse de toujours au sein de Radiohead, alias le plus grand groupe de rock de ces 30 dernières années et Tom Skinner, batteur des aventureux Sons of Kemet. On ne se pose même pas la question de la qualité musicale du résultat. Les gars ne sont pas habitués à décevoir. The Smile, drôle de nom, pour des artistes pas franchement connus pour la gaudriole. Vous entendrez tout à propos de ce "A Light For Attracting Attention" : que c'est le meilleur disque des membres de Radiohead en dehors de Radiohead, que c'est carrément le dixième disque de Radiohead. C'est sans doute vrai, mais peu importe. L'essentiel est de tenir une fois de plus, un compagnon au long cours, car même si on finit par connaître par coeur cette musique, elle continue de nous subjuguer et il faut y revenir de nombreuses fois pour en saisir toutes les subtilités - écoute au casque obligatoire. La production de Nigel Goodrich fait à nouveau merveille. Elle semble en tout cas beaucoup plus adaptée à Radiohead qu'à Arcade Fire (cf. Leur dernier disque).