HSBC va-t-il être coupé en deux ? C'est ce que demande un investisseur chinois, depuis quelques temps.
Il y a quelques années, HSBC a installé son siège à Hong Kong. Pied de nez à la vieille Europe, ai-je pensé.
Aujourd'hui, HSBC se trouve pris entre deux feux. D'ailleurs, la demande de l'investisseur est surprenante, car HSBC semble avoir, surtout, basculé du côté chinois, où est la majorité de ses intérêts. Après la taupe russe, la taupe chinoise ?
La Chine, c'est l'avenir, pensait l'élite mondiale. Au diable le vieil homme occidental frappé d'obsolescence...
(HSBC pourrait faire appel, en cas de malheur, à celui-la même qu'elle jugeait condamné par l'histoire : le contribuable anglais. Article.)