Une rapide enquête devait m’apprendre qu’il y a déjà plusieurs journalistes qui, lors des visites réservées à la presse, ont eu le réflexe de glisser une piécette dans la machine pour l’inciter à leur remettre un titre de transport à classer sous la rubrique collectors. Il y en a même un qui, dit-on, aurait fait dédicacer son ticket par Olivier Français, le municipal tunnelier de Lausanne.
J’ajouterais à cela que de très probables et très nombreux essais ont déjà certainement eu lieu. Ce qui me fait dire que ce que je croyais être une rareté est en fait un banal ticket de la «Communauté tarifaire vaudoise». Un titre de transport qui ne présente pour seul intérêt que d’avoir été émis par une des rares machines du m2 accessible au public et pas «momentanément hors fonction» comme sa voisine.
Pas de quoi justifier un billet sur un blogue … À moins que.
Voilà deux petites corrections à faire avant que le premier vrai ticket pour un vrai passager ne soit émis.