Je suis plutôt un gars non violent mais je comprends très bien Dirty Harry qui ne se sépare jamais de son Magnum. Moi-même dès que l’occasion se présente j’aime assez en avoir un en main, le soupeser au creux de ma paume, en apprécier la fraîcheur glacée sur ma peau. A cet instant ne m’approchez pas de trop près, j’aime avoir mes aises pour le sortir délicatement de son étui, avantage certain sur la crème glacée vendue en cornet dont il faut circonscrire l’effondrement par de grands coups de langue tout en rangeant la monnaie rendue par le commerçant ce qui…