D'une émission sur la Grèce ancienne (Concordance des temps, France Culture) je retiens : incompatibilité entre le grand homme et la démocratie.
Le grand homme, le "premier de cordée", c'est la menace de la dictature.
Les travaux sur le changement parlent de "servant leader", ou, récemment, de "leader jardinier". Dans une démocratie, le véritable grand homme n'est pas celui qui est devant, mais celui qui est "à l'intérieur" ? Qui, comme Montaigne, fait évoluer la société par ses écrits, mais aussi par l'exemple de sa vie ? Le véritable grand homme est un anonyme ?
Pour une fusion de l'Arc de Triomphe et du Panthéon ?