Espace littéraire du sport, de la Chine, mais pas du sport en Chine

Par Georgesf

Ce soir vers 20 heures, j'ouvre ici l'espace littéraire dédié à la littérature du sport, de la Chine (mais pas du sport en Chine).
Non, ceci n'est pas un teasing, c'est simplement une annonce. Un teasing, c'est quand on se demande ce qui va suivre. L'annonce préalable, c'est une méthode que je vais d'ailleurs reprendre désormais : annoncer, aussi souvent que possible, les billets 12 ou 24 heures à l'avance. Cela vous évitera des visites inutiles. Et dire que des esprits persifleurs m'accuseront de forcer le trafic : non, non, c'est le contraire.
D'ici ce soir, si vous avez des messages à proposer sur ce thème, déposez-les en commentaires du billet précédent. Oui, là, juste en dessous.
En attendant, je ne vais pas vous laisser repartir comme ça. Qu'est-ce que je peux vous servir ? Un café ? Quoi d'autre ? Un tango ? Oui, très bonne idée, un tango. Je vous sers un classique, ça plaît toujours. La Cumparsita, ça vous va ? Voilà. Ah, la musique, vous avez oublié la musique ? Ca fait lalala la lalalala, lalala, lalala, ça y est, ça vous revient ? Et les pas, comment les pas ? Ah, il faut aussi que je vous donne les pas du tango ? Vous plaisantez ? C'est un espace littéraire, ici.

La Cumparsita

Si supieras que aún dentro de mi alma
Conservo aquel cariño que tuve para ti
Quien sabe si supieras
Que nunca te he olvidado
Volviendo a tu pasado
Te acordarás de mí.
Los amigos ya no vienen
Ni siquiera a visitarme
Nadie quiere consolarme
En mi aflicción.
Desde el día que te fuiste
Siento angustias en mi pecho,
Decí percanta: ¿Qué has hecho
De mi pobre corazon?
Al cuartito abandonado.
Ya ni el sol de la mañana
Asoma por la ventana,
Como cuando estabas vos
Y aquel perrito companero
Que por tu ausencia no comía
Al verme solo, el otro día
También me dejó.

C'est n'importe quoi, cette chronique, on arrive ici pour se documenter sur la littérature du sport et de la Chine, et on repart avec les paroles d'un tango argentin.
Même pas argentin, diront les puristes, mais uruguayen.