À l’aide de photographies conceptuelles et satiriques, un artiste suédois illustre ce qu’il considère comme le côté sombre de la relation de la société avec la technologie.
Andréas Varron crée des œuvres d’art qui représentent le comportement humain à travers l’art satirique en utilisant des croquis soigneusement conçus, des accessoires fabriqués et la manipulation de photos. Sur la base d’observations du monde moderne, Varro a réalisé un ensemble d’œuvres primées qui dépeint de manière créative les dilemmes de société et les conséquences de la vie à l’ère numérique.
L’intérêt de Varro pour le design a commencé il y a 22 ans en classe d’art. Bien qu’il raconte PétaPixel il n’avait à l’époque “aucun talent”, Varro a découvert Photoshop 4.0 installé sur l’un de ses ordinateurs de classe. Apprendre à utiliser le logiciel lui a donné un aperçu des possibilités de l’art.
Plus tard, il a également pris son premier appareil photo et a immédiatement commencé à expérimenter la combinaison d’images dans Photoshop. Intéressé par les voitures de sport, il a rapidement appris à mélanger ses deux passions en réalisant diverses petites missions.
Un photographe crée de l’art avec une signification profonde
La crise financière qui a suivi a laissé Varro au chômage, mais il n’a pas laissé cela l’étouffer. Au lieu de cela, il a décidé de suivre son rêve et de poursuivre la photographie en tant qu’entreprise à plein temps. Aujourd’hui, il assume encore de temps en temps des missions commerciales – “seulement si les projets sont suffisamment intéressants” – mais son attention est maintenant tournée vers l’art avec des messages puissants derrière eux.
L’intérêt de Varro pour entamer des conversations significatives et souvent inconfortables sur des sujets de société à travers l’art remonte à ses jeunes années.
“J’étais timide, en surpoids et victime d’intimidation à l’école et j’avais une jeunesse très difficile, souvent effrayée par le moment où la prochaine personne allait faire la grève”, dit-il. « Ces événements m’ont rendu très conscient de mon environnement ; en tant qu’analytique, j’ai réfléchi à la raison pour laquelle les gens agissaient comme ils l’ont fait et à la motivation derrière un comportement spécifique.
Cette curiosité a été encore exacerbée par la mort de ses parents – tous deux décédés en un an et qui ont soudainement laissé Varro ramasser les morceaux par lui-même et devoir grandir rapidement.
“Ces événements ont formé l’intention derrière moi de créer de l’art, d’entamer des conversations profondes et significatives entre les individus”, explique-t-il. “Pour que les gens parlent de notre comportement, de la façon dont nous interagissons les uns avec les autres, avec la technologie, comment la technologie nous affecte et la liberté d’expression. Je veux faire ma petite part pour contribuer à l’amélioration de notre société.
D’un croquis à la photo finale polie
Toutes les œuvres de Varro commencent par une idée, comme dans ce cas les conséquences négatives des médias sociaux. Pas toujours, mais souvent, il utilise des histoires ou des mythes existants et les applique à un scénario de l’époque actuelle, qui. il dit que c’est “un excellent moyen d’établir des parallèles entre un problème que les gens comprennent déjà et sa conséquence négative sur un problème existant qui n’est pas aussi traité que le mythe”.
Il suit une idée clairement établie avec un croquis pour transférer le concept à quelque chose de plus défini. Au cours de cette étape, il construit les fondations et la composition de l’œuvre.
« Le croquis m’aide à visualiser les angles, la perspective et la lumière dont j’ai besoin pour photographier les éléments ; il est également utile d’aider les modèles à comprendre ma vision afin que nous soyons sur la même longueur d’onde », explique-t-il.
“Le processus de photographie est différent d’une œuvre à l’autre, mais généralement, il consiste à photographier des images à la fois sur place et en studio, puis à les combiner en post-traitement. En conséquence, certaines œuvres d’art n’ont que quelques photographies combinées ; d’autres œuvres d’art en ont des centaines.
Le post-traitement dans Photoshop est la partie la plus longue de l’ensemble du processus. Cela peut prendre de quelques jours à plusieurs semaines avec des centaines de couches. Une fois l’image finale prête, Varro l’imprime sous forme de tirage d’art grand format, qu’il vend en éditions limitées.
Lorsqu’on lui a demandé si son projet artistique avait une fin finie, Varro dit qu’il a réalisé “ce n’est pas seulement un projet mais plus un style artistique”. Il utilise l’art pour transmettre des choses qu’il croit importantes et a l’intention de continuer à le faire, tant qu’il y trouvera du sens.
Plus de travaux de Varro peuvent être trouvés sur son site Internet et Instagram.
Crédits image : Photos d’Andreas Varron.
À l’aide de photographies conceptuelles et satiriques, un artiste suédois illustre ce qu’il considère comme le côté sombre de la relation de la société avec la technologie.
Andréas Varron crée des œuvres d’art qui représentent le comportement humain à travers l’art satirique en utilisant des croquis soigneusement conçus, des accessoires fabriqués et la manipulation de photos. Sur la base d’observations du monde moderne, Varro a réalisé un ensemble d’œuvres primées qui dépeint de manière créative les dilemmes de société et les conséquences de la vie à l’ère numérique.
L’intérêt de Varro pour le design a commencé il y a 22 ans en classe d’art. Bien qu’il raconte PétaPixel il n’avait à l’époque “aucun talent”, Varro a découvert Photoshop 4.0 installé sur l’un de ses ordinateurs de classe. Apprendre à utiliser le logiciel lui a donné un aperçu des possibilités de l’art.
Plus tard, il a également pris son premier appareil photo et a immédiatement commencé à expérimenter la combinaison d’images dans Photoshop. Intéressé par les voitures de sport, il a rapidement appris à mélanger ses deux passions en réalisant diverses petites missions.
Un photographe crée de l’art avec une signification profonde
La crise financière qui a suivi a laissé Varro au chômage, mais il n’a pas laissé cela l’étouffer. Au lieu de cela, il a décidé de suivre son rêve et de poursuivre la photographie en tant qu’entreprise à plein temps. Aujourd’hui, il assume encore de temps en temps des missions commerciales – “seulement si les projets sont suffisamment intéressants” – mais son attention est maintenant tournée vers l’art avec des messages puissants derrière eux.
L’intérêt de Varro pour entamer des conversations significatives et souvent inconfortables sur des sujets de société à travers l’art remonte à ses jeunes années.
“J’étais timide, en surpoids et victime d’intimidation à l’école et j’avais une jeunesse très difficile, souvent effrayée par le moment où la prochaine personne allait faire la grève”, dit-il. « Ces événements m’ont rendu très conscient de mon environnement ; en tant qu’analytique, j’ai réfléchi à la raison pour laquelle les gens agissaient comme ils l’ont fait et à la motivation derrière un comportement spécifique.
Cette curiosité a été encore exacerbée par la mort de ses parents – tous deux décédés en un an et qui ont soudainement laissé Varro ramasser les morceaux par lui-même et devoir grandir rapidement.
“Ces événements ont formé l’intention derrière moi de créer de l’art, d’entamer des conversations profondes et significatives entre les individus”, explique-t-il. “Pour que les gens parlent de notre comportement, de la façon dont nous interagissons les uns avec les autres, avec la technologie, comment la technologie nous affecte et la liberté d’expression. Je veux faire ma petite part pour contribuer à l’amélioration de notre société.
D’un croquis à la photo finale polie
Toutes les œuvres de Varro commencent par une idée, comme dans ce cas les conséquences négatives des médias sociaux. Pas toujours, mais souvent, il utilise des histoires ou des mythes existants et les applique à un scénario de l’époque actuelle, qui. il dit que c’est “un excellent moyen d’établir des parallèles entre un problème que les gens comprennent déjà et sa conséquence négative sur un problème existant qui n’est pas aussi traité que le mythe”.
Il suit une idée clairement établie avec un croquis pour transférer le concept à quelque chose de plus défini. Au cours de cette étape, il construit les fondations et la composition de l’œuvre.
« Le croquis m’aide à visualiser les angles, la perspective et la lumière dont j’ai besoin pour photographier les éléments ; il est également utile d’aider les modèles à comprendre ma vision afin que nous soyons sur la même longueur d’onde », explique-t-il.
“Le processus de photographie est différent d’une œuvre à l’autre, mais généralement, il consiste à photographier des images à la fois sur place et en studio, puis à les combiner en post-traitement. En conséquence, certaines œuvres d’art n’ont que quelques photographies combinées ; d’autres œuvres d’art en ont des centaines.
Le post-traitement dans Photoshop est la partie la plus longue de l’ensemble du processus. Cela peut prendre de quelques jours à plusieurs semaines avec des centaines de couches. Une fois l’image finale prête, Varro l’imprime sous forme de tirage d’art grand format, qu’il vend en éditions limitées.
Lorsqu’on lui a demandé si son projet artistique avait une fin finie, Varro dit qu’il a réalisé “ce n’est pas seulement un projet mais plus un style artistique”. Il utilise l’art pour transmettre des choses qu’il croit importantes et a l’intention de continuer à le faire, tant qu’il y trouvera du sens.
Plus de travaux de Varro peuvent être trouvés sur son site Internet et Instagram.
Crédits image : Photos d’Andreas Varron.
— to petapixel.com
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