Présidentielles. Le débat devient illisible. Chaque candidat joue sur l'émotion.
Ce qui est jouer avec le feu. Par exemple, on lit que M.Macron veut gommer son image néolibérale, susceptible d'amener la gauche à voter Le Pen, en se disant ultra écologiste, alors que ce genre de thèses ulcère une grande partie du pays... Mais, quand on est pris par surprise, il n'y a peut-être rien d'autre à faire. Il n'y a plus de temps pour la raison.
Au fond, M.Macron illustre un des sujets de ce blog : l'optimisme au sens de M.Seligman. Il est stimulé par l'adversité. Il doit se rêver en Zelinsky.
Si bien qu'il a tendance à nous mettre systématiquement en danger ?