Grrrande quinzaine de la Chine et du sport : appel aux chroniqueurs !

Grrrande quinzaine de la Chine et du sport : appel aux chroniqueurs !
Les jeux du cirque olympique risqueraient de nous faire oublier deux sujets littéraires bigrement intéressants : le sport, et la Chine.

Le hic, c’est que je m’y connais à peine en littérature du sport, et pas du tout en littérature chinoise. Je vais quand même ouvrir un billet sur des deux thèmes, mais j’aurai besoin de vous, passants, visiteurs et chroniqueurs.

Le principe est simple : cette chronique fonctionnera en espace littéraire ouvert, sous ma responsabilité légale d’administrateur. La durée de l’action sera celle du spectacle à Pékin.

Ceux qui ont une lecture à nous proposer, concernant le sport ou la Chine, peuvent :

-   nous la signaler simplement. Mais il ne faudrait pas que ça tourne à la liste encyclopédique. L’idéal serait alors de pouvoir en dire quelques mots, même inspirés d’ailleurs.

-   nous la décrire avec un billet de 3.000 signes maximum.

-   nous la relayer, s’ils y ont déjà, précédemment, consacré un billet plus long dans leur propre blog. Dans ce cas, merci de nous donner le début du billet (disons 1.000 premiers signes environ) complétés d’un lien « à suivre » qui fera arriver sur ledit billet complet de leur blog.

En pratique : vous m’envoyez votre proposition en commentaire ou par mail (adresse indiquée en haut à gauche de ce blog). Avant de transférer dans l’espace littéraire « Grrrande quinzaine », je corrigerai les fautes d’orthographe, pour l’esthétique de ce blog. Dans le même esprit, vous éviterez les propos violents, agressifs, graveleux, pour ne pas me chagriner. Et tous les propos qui contreviennent à la loi ou à la morale communément admise. Notamment à la mienne. Dans tous ces cas-là, je ne corrigerai pas : je supprimerai le billet entier ou le passage en indiquant « censuré par l’administrateur », un peu comme si on était en république populaire. Je m’en fais une véritable fête, j’ai toujours rêvé d’être chef-censeur.

Sont concernés par cet espace littéraire provisoire et démontable :

 Grrrand Un : Les livres à vocation littéraire traitant du sport. Le bilan de la coupe du Monde par Thierry Roland, est, par contre-exemple, certainement passionnant, mais il n’entre pas dans cette catégorie. Excluons aussi les « documents » ou « dossiers ».

On retiendra les romans ou nouvelles qui, à la Fnac ou au Furet du Nord, sont classés en rayon littérature, et non en rayon sport. Quelques exemples :

Louis Nucera : De Pétrarque à Nietzche en vélo
Albert Londres, Forçats de la route
Roger Vailland, Cent mille francs.
Guy Lagorce : les Héroïques (et non les Olympiques, comme je l’avais écrit dans un précédent billet, lapsus révélateur).
José Luis Peixoto : Le Cimetière de pianos, signalé par Daniel Fattore dont j’attends cependant le OK pour relais sur son excellent blog.

 Grrrand Deux : Les romans ou nouvelles écrits par des auteurs chinois, vivant en Chine ou exilés, et dont les personnages ou le cadre sont chinois. On portera une attention spéciale aux auteurs dont les œuvres sont interdites à la publication en Chine (oui, figurez-vous que ça arrive) : puisqu’on les prive d’un marché d’un milliard de lecteurs, ce blog va certainement leur permettre de rattraper ça.

Là encore, on va exclure les documents, essais ou dossiers.

 J’espère que cet espace sera vite rempli. Je relis ce billet, il n’est pas très amusant. J’aurais dû y ajouter une histoire drôle chinoise. Je vais chercher ça. C’est To-Tong qui dit à sa Ma-Mang…