Tout ce qu'elle a fait comme demande, dans le commerce international, une fois son père élu, a été approuvé et les accords accélérés de 40% par rapport à pré-2016. En Chine. Là où les détritus du parti républicain, les têtes les plus brûlées (comme Dominic Maurais chez nous), accusent le fils de Joe Biden, d'avoir des courriels compromettants en lien, avec lui, acceptant des sous des Chinois.
Dès mars 2017, dans le népotisme le plus total, Ivanka, fille ainée du président clown, était déclarée officiellement employée du gouvernement, elle et son époux Jared Kushner, tous deux 36 ans, devenaient conseillers
En mai 2018, ZTE, une importante compagnie d'électronique chinoise, arrêtait massivement ses activités avec les États-Désunis suite aux nouvelles sanctions qu'appliquait le dément président contre la Chine. Celui-ci les punissait pour voir brisé les règles du commerce en vendant de l'électronique à l'Iran et à la Corée du Nord. La main Nord-Coréenne est celle que végétal-brain Trump ira pourtant baiser. Le même mois, en parfaite bipolarité, le blond démon disait vouloir travailler avec Xi Jingping afin de ne pas provoquer la faillite de ZTE. ZTE emploie plus de 75 000 travailleurs, c'est dire l'importance de cette compagnie, en Chine (pays surpeuplé toutefois, donc ce chiffre ne les impressionne pas autant que nous). Mais changeait-il d'idée pour protéger les affaires de sa fille ?
Toujours le même mois, mai 2018, la Chine approuvait 7 des marques d'Ivanka.
Au pays du soleil levant, la "conseillère" allait rencontrer le Premier Ministre japonais, Shinzo Abe, qui allait, lui, faire passer 3 des marques associées à elle, le faisant trois fois plus vite qu'avec quiconque en provenance des États-Unis, auparavant. En revanche, et pour être "juste", le Japon acceptait 3 marques canadiennes aussi tout de suite après le passage de Juju Trudeau. Just doin' biz, me friends.
En octobre 2018, la Chine approuvait 16 autres marques liées à la marque LLC d'Ivanka Trump. Des accessoires de mode, des lunettes fumées, de sacs à main, des souliers, des bijoux, des services de beauté et...des machines à vote. À quoi ressemble une machine à vote? J'en ai pas la moindre idée. Les machines fabriquent non ? À fabriquer des votes, je présumes.
En janvier 2019, 5 autres marques liées à Ivanka, des articles pour les nouveaux naissants et les enfants, des articles de robes de mariée aussi étaient acceptées préliminairement en Chine. Des services "conseil" étaient également prodigué. Bien que Ivanka ait toujours dit avoir payé son condo, dans les tours de papa, le plein prix, (1 million 667 milles), elle n'en a payé que 1,5, selon des documents aujourd'hui officiels et obtenus par le magazine Forbes.
Alors pendant que papa était en guerre du commerce avec la Chine, Ivanka faisait de très bonnes affaires. De conseillère ? Pas convaincu. À moins que ses conseils n'eût simplement été que d'investir dans ses affaires. Ce qui est plus inconfortable est que père présidentiel a peut-être pris des décisions nationales directement inspiré des affaires de sa fille. Avec laquelle il avait dit vouloir coucher si elle n'était pas sa fille.
Troublant a été réinventé entre 2016 et nos jours.
Donald a t-il pris des décisions de politique étrangère dans le but d'enrichir sa fille ?
Le népotisme le commande habituellement.
Mais les Républicains, dans le déséquilibre le plus constant. continuent de frapper sur le clou du fils de Joe Biden, Hunter, qui aurait peut-être accepté de l'argent des Chinois.
Et les plus ridicules des chroniqueurs d'ici, Dominic Maurais, bien en tête, relaient l'ignorance choisie autour du fils Biden. En oublient méticuleusement la frauduleuse famille Trump.