1 avril 2022 | classé dans: Poèmes étiqueté avec: covid
Juste un petit pamphlet
En guise de camouflet
Il l'a reçue, il l'a reçue
Le pauvre petit Manu
Cette gifle qui fait mal
Cette gifle magistrale
Le petit roquet arrogant
En a pris plein les dents
Un juste retour de bâton
Pour le roitelet en question
Le petit peuple tabassé
Dis !tu n'as pas oublié ?
Tu te souviens, n'est ce pas ?
En aucun cas, je ne vois là
Une insulte ou une offense
Lancée à notre belle France
Le mépris vient d'en haut
Et le peuple courbe le dos
Mais jusqu'à quand ?
Mon opinion
Voila les élections, alors je voudrais vous parler de celui qui nous matraque, nous traque, nous taxe, nous méprise et nous emmerde sans vergogne !
Pour moi la coupe est pleine, Cette personne et son gouvernement m'horripilent, par leurs mépris du peuple, par cette façon hautaine de nous regarder. Nous sommes des imbéciles des ignares, des résidus de basse fosse, seuls, ces messieurs seraient intellectuellement au-dessus de nous.
Un homme qui se prend pour un chef de guerre , qui se compare au grand Charles, et même à Zelensky, dont il prend le look, qui a stigmatisé les non-vaccinés, qui nous a monté les uns contre les autres ( et ce qui est terrible, ça marche !) qui a autorisé la police à matraquer le peuple en toute impunité, Dans quelle France vit on ? Il me semble aujourd'hui que le pronostic vital de notre chère démocratie soit engagé. Je ne la reconnais plus.
A 19 ans je me suis engagé, 18 mois sous les drapeaux, j'ai travaillé toute ma vie, je n'ai pratiquement rien coûté à la société. J'ai respecté les règles, les lois et mes concitoyens. Je me suis même fait vacciner pour m'acheter un semblant de liberté. Mais aujourd'hui le petit coq arrogant pousse le bouchon trop loin. Je refuse que quiconque dirige ma vie ! Et surtout, pas lui !
Marianne réveille toi !!!!! [email protected]"Demain, prends garde à ta peau, à ton fric, à ton boulot
Car la vérité vaincra, La Commune refleurira
Mais en attendant, je chante et je te crache à la gueule
Cette petite chanson méchante que t'écoutes dans ton fauteuil" ( Renaud )