Foundling: 100 Days présente des portraits inspirés par l’adoption

Publié le 30 mars 2022 par Mycamer

L’artiste Megan Rye, une Coréenne adoptée elle-même, dit qu’elle voulait capturer la communauté des adoptés du Minnesota dans son ensemble dans son exposition au Weisman Art Museum.

MINNEAPOLIS – C’était un jour en 2016 qui a donné une pause à l’artiste Megan Rye.

“Mon fils est né en 2014 et ma fille est arrivée en 2016”, a déclaré Rye. “La semaine qui a suivi son arrivée, je feuilletais au hasard l’album photo et je suis tombé sur les photos de référence de mon dossier d’adoption. Ce sont les photos qu’une famille qui attend un enfant reçoit lorsque l’enfant est prêt pour le placement.”

En tant qu’adoptée coréenne, Rye avait vu des centaines de fois des photos de bébé d’elle-même. Cependant, d’une manière ou d’une autre, ce jour-là, il y a six ans, cela a frappé différemment.

“C’est tout ce que j’ai de mes sept mois et demi en Corée”, a-t-elle déclaré. “Ce sont quelques minuscules petites photos en noir et blanc qui s’estompent. Et je venais de rentrer de l’hôpital avec ma petite fille, et nous avions déjà une montagne de choses – comme des vêtements de bébé, des jouets et des livres et des empreintes de pas, des ultrasons photos. Et j’ai pensé : ‘C’est tout ce que j’ai.'”

Comme ce fut le cas pour les dizaines d’autres adoptés présentés dans son exposition – c’est tout ce qu’ils avaient aussi.

“Les gens ne sont pas venus avec des vêtements, des peluches et des albums de famille. Certaines personnes avaient plus d’informations sur leur famille biologique, beaucoup non”, a ajouté Rye.

Cette photo est le premier bonjour; Une image vaut mille mots. Rye pensait qu’elle devait le capturer d’une manière ou d’une autre.

Sachant que le Minnesota a la plus forte concentration d’adoptés coréens, elle a estimé qu’ils avaient également besoin d’une sorte de connexion avec le Minnesota.

“Quelque part le long de la ligne, j’étais également très obsédé par le drapeau coréen et j’ai réalisé que le cercle le plus à l’intérieur de ce logo cible était connecté à ce cercle du drapeau coréen, et j’ai pensé” Bullseye “”, a déclaré Rye. “C’est le bon matériau pour ces sacs.”

“Je voulais que cette cible se lise vraiment comme un symbole de quelque chose qui était voulu ou choisi, une cible”, a-t-elle déclaré. “Je voulais qu’il se connecte au cœur.”

Englober la complexité de l’adoption est une tâche difficile, mais Rye a estimé qu’elle pouvait le faire.

“Je pense que deux choses créent un adopté : premièrement, vous êtes abandonné, et deuxièmement, vous êtes retrouvé et réclamé”, a-t-elle déclaré. “Et tenant ma petite fille après sa naissance, tous ces sentiments et réalisations étaient vraiment clairs pour moi.”

“Je pense que l’adoption est un acte d’amour profond”, a déclaré Rye. “C’est aussi un acte de foi pour toutes ces familles d’avoir confié à un artiste complètement inconnu le soin de raconter leur histoire. C’est aussi un acte de foi, de permettre à l’art de raconter une histoire.”

Enfant trouvé : exposition 100 jours est maintenant à la Musée d’art Weismann. Elle sera exposée jusqu’au 22 mai.

Rye organise également une conférence en personne sur l’exposition le 27 avril.

Regardez toutes les dernières histoires de Breaking The News dans notre Liste de lecture YouTube :

https://www.youtube.com/watch?v=videoseries

L’artiste Megan Rye, une Coréenne adoptée elle-même, dit qu’elle voulait capturer la communauté des adoptés du Minnesota dans son ensemble dans son exposition au Weisman Art Museum.

MINNEAPOLIS – C’était un jour en 2016 qui a donné une pause à l’artiste Megan Rye.

“Mon fils est né en 2014 et ma fille est arrivée en 2016”, a déclaré Rye. “La semaine qui a suivi son arrivée, je feuilletais au hasard l’album photo et je suis tombé sur les photos de référence de mon dossier d’adoption. Ce sont les photos qu’une famille qui attend un enfant reçoit lorsque l’enfant est prêt pour le placement.”

En tant qu’adoptée coréenne, Rye avait vu des centaines de fois des photos de bébé d’elle-même. Cependant, d’une manière ou d’une autre, ce jour-là, il y a six ans, cela a frappé différemment.

“C’est tout ce que j’ai de mes sept mois et demi en Corée”, a-t-elle déclaré. “Ce sont quelques minuscules petites photos en noir et blanc qui s’estompent. Et je venais de rentrer de l’hôpital avec ma petite fille, et nous avions déjà une montagne de choses – comme des vêtements de bébé, des jouets et des livres et des empreintes de pas, des ultrasons photos. Et j’ai pensé : ‘C’est tout ce que j’ai.'”

Comme ce fut le cas pour les dizaines d’autres adoptés présentés dans son exposition – c’est tout ce qu’ils avaient aussi.

“Les gens ne sont pas venus avec des vêtements, des peluches et des albums de famille. Certaines personnes avaient plus d’informations sur leur famille biologique, beaucoup non”, a ajouté Rye.

Cette photo est le premier bonjour; Une image vaut mille mots. Rye pensait qu’elle devait le capturer d’une manière ou d’une autre.

Sachant que le Minnesota a la plus forte concentration d’adoptés coréens, elle a estimé qu’ils avaient également besoin d’une sorte de connexion avec le Minnesota.

“Quelque part le long de la ligne, j’étais également très obsédé par le drapeau coréen et j’ai réalisé que le cercle le plus à l’intérieur de ce logo cible était connecté à ce cercle du drapeau coréen, et j’ai pensé” Bullseye “”, a déclaré Rye. “C’est le bon matériau pour ces sacs.”

“Je voulais que cette cible se lise vraiment comme un symbole de quelque chose qui était voulu ou choisi, une cible”, a-t-elle déclaré. “Je voulais qu’il se connecte au cœur.”

Englober la complexité de l’adoption est une tâche difficile, mais Rye a estimé qu’elle pouvait le faire.

“Je pense que deux choses créent un adopté : premièrement, vous êtes abandonné, et deuxièmement, vous êtes retrouvé et réclamé”, a-t-elle déclaré. “Et tenant ma petite fille après sa naissance, tous ces sentiments et réalisations étaient vraiment clairs pour moi.”

“Je pense que l’adoption est un acte d’amour profond”, a déclaré Rye. “C’est aussi un acte de foi pour toutes ces familles d’avoir confié à un artiste complètement inconnu le soin de raconter leur histoire. C’est aussi un acte de foi, de permettre à l’art de raconter une histoire.”

Enfant trouvé : exposition 100 jours est maintenant à la Musée d’art Weismann. Elle sera exposée jusqu’au 22 mai.

Rye organise également une conférence en personne sur l’exposition le 27 avril.

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