[Léo Ferré et Ivry Gitlis (1975)]
Depuis ce matin, j'essaye de faire un billet sur Brice Hortefeux qui a fait interdire une manifestation devant le CRA du Mesnil-Amelot, samedi prochain. Sans penser à demander avant s'il y en avait bel et bien une de prévue (avouez que c'est ballot, franchement...). J'avais même trouvé une photo du Sergent Garcia au garde-à-vous pour illustrer le tout !
Mais aujourd'hui, les tribulations domestiques ont eu raison de mon inspiration (si si ! je vous jure que, pour une fois, j'étais furieusement inspirée, après les infos de 8 heures sur France Culture !). Par conséquent, je ne vous parlerai ni des témoignages de retenus du Mesnil-Amelot qu'on peut lire sur le site du Quotidien des sans-papiers, ni des propos de Richard Moyon, porte-parole de RESF, que l'on peut écouter sur le site du Monde, ni même de cet article d'Alain Morice, "Violences expérimentales à l'abri des regards ?", que j'ai découvert sur Vacarme en cherchant des précisions sur l'histoire des Centres de Rétention Administrative. Et encore moins du billet d'Olivier Bonnet, "Centres de rétention administrative : vive le feu !", qui est très bien (si vous venez de dîner, évitez soigneusement les commentaires de Kouffar le Barbare : ils sont presque aussi vomitifs que ceux laissés par les "braves gens" sur l'article de Libé, "Marina Petrella, jour de relâche"...).
Non, n'insistez pas... Aujourd'hui, c'est une journée sans.
Post-Scriptum
Il y a un dernier lien que je ne vous mettrai pas, c'est celui vers un article sur Rezo Citoyen : "Visas de transit anti-tchéchènes : annulés par le Conseil d'Etat, rétablis cinq jours plus tard par décision ministérielle" (par Anafé et Gisti).
Alors évidemment, ce n'est pas directement en rapport avec ce dont je n'ai pas parlé plus haut. Mais il me semble que c'est très représentatif des procédés de la clique au pouvoir. Jusqu'à la caricature...