C’est l’avis émis par l’Organisation mondiale de la Santé, l’OMS qui estime toutefois qu’elle pourrait altérer les performances des athlètes, en particulier de ceux qui participent à des épreuves d’endurance qui les exposeraient, de surcroît à des effets désastreux à long terme , au point de faire renoncer certains à leur participation.
La pollution atmosphérique est un vrai problème à Pékin et le fait d’y passer plusieurs années favorise les risques de développer des maladies respiratoires comme l’asthme, des infections, des problèmes cardiaques et le cancer du poumon, alors que pour les visiteurs de passage, le risque est minime et encore moindre pour les athlètes réputés en excellente forme physique.
Le point positif de JO c’est d’avoir fait réagir les pouvoirs publics qui sont passé à l’acte pour tenter de limiter la pollution, en espérant qu’il sera maintenu après les jeux.