Mes amis,
Je suis toujours en congé, et au moins jusqu'à la fin du mois. Mais ce sont des congés studieux, car entre autres j'ai mis en place le blog contre le choc de civilisations. A
noter d'ailleurs que vous y trouverez (http://eva-communion-civilisations.over-blog.com/ ) de passionnants articles,
notamment sur les fausses accusations concernant l'Iran, susceptibles pourtant de conduire à la guerre (au moins officiellement), ou sur les opposants juifs au sionisme
qui menace la paix dans le monde. Encore plus original : Vous y trouverez un appel à la constitution d'une alliance stratégique amicale entre Judaïsme et Islam !
Et pour les amateurs, j'ai sorti une Lettre ouverte à nos frères et soeurs Juifs, sur mon autre blog http://r-sistons-actu.skynetblogs.be/post/6128822/lettre-ouverte-a-mes-freres-et-soeurs-juifs De quoi vous occuper pendant les vacances, entre deux sorties en mer ou en montagne.
Mais je voudrais vous entretenir d'un phénomène que je sens venir, et qui est à mon avis très grave.
On peut être croyant, et attaché à la laïcité, gage de paix sociale, d'autant plus précieux que les communautarismes tendent à s'exaspérer, actuellement. Chacun se crispe sur son
identité, et c'est très inquiétant. Le communautarisme est une fausse réponse à de vraies politiques contre les peuples. Ce blog vous incite à combattre la casse de tout ce à quoi
nous tenons, nos protections sociales, notre indépendance nationale, notre souveraineté, notre Droit du travail, etc. C'est en refusant ces
politiques que nous avancerons, pas en nous repliant frileusemet sur nous. L'union de tous, quelles que soient nos spécificités, fera notre force.
Mais ce que je voudrais dénoncer, aujourd'hui, c'est, à l'aide des médias collabos, la future casse de la laîcité qui nous rassemble.
En effet, Sarkozy est entouré de religieux intégristes, aussi bien catholiques que juifs, qui travaillent dans l'ombre à restaurer l'ordre moral le plus strict, ou à "sioniser" la
société. Les catholiques extrémistes nous préparent entre autres au retour de l'école religieuse, et le CRIF à la prédominance de l'idéologie qui lui est chère.
Il est évident que plus les individus seront de sages et de fidèles croyants, plus ils seront soumis, moins ils contesteront les régressions qui menacent notre cohésion sociale.
Un bon croyant ne remet pas en question l'autorité d'un gouvernement, même s'il porte atteinte à ses intérêts les plus vitaux. L'objectif est de faire de nous des esclaves
soumis au grand désordre planétaire, bêlants voire admiratifs devant la mondialisation malheureuse.
Ce qui me préoccupe, aujourd'hui, c'est ce que je viens d'entendre sur la chaîne parlementaire, et que je vous révèle. Avec effroi.
Le titre de l'émission était : "Quelle école pour Dieu ?". On ne peut être plus explicite !
Pour moi, l'école doit être là pour communiquer un savoir. Pas pour faire la promotion de Dieu. D'ailleurs, Il est, finalement, multiple : Comme
dirait Mère TeresaI, Il se laisse approcher par tant de chemins, Chrétien, juif, musulman....
Je suis croyante. Mais ouverte, et attaché aux idéaux républicains, et notamment à la neutralité, à la laïcité qui nous réunit en dépit de nos différences.
Or, dans cette émission que j'ai regardée distraitement, il était justement question d'école chrétienne, de son souhait d'affirmer davantage son identité, non pas "en
imposant", certes, mais "en proposant", ce qui, je cite toujours l'émission, "va dans le sens d'une logique identitaire".
Mes amis, on nous habitue progressivement à un changement radical là aussi ! On nous prépare à une école qui favorise les identités spécifiques,
nécessairement antagonistes, au lieu de les diluer dans un tout harmonieux, dans le creuset de la République.
On nous prépare aussi à nous soumettre aux autorités, quelles qu'elles soient, même injustes, prédatrices, va-t-en guerre !
Oui, je dénonce avec force, par anticipation, ce qui va se mettre en place.
Les médias nous préparent insidieusement à accepter ce qui arrange les puissants, qui sont égoîstes, cupides, dénués de sens
moral, et même.. psychopathes.
Nous devons être très vigilants. Sinon, bientôt nous ne reconnaîtrons plus la société dans laquelle nous sommes. Un pas après l'autre, tout aura
changé, et on nous aura conduit vers un désastre irréversible.
Car les peuples auront définitivement capitulé devant l'intolérable.
Votre Eva
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TAGS : Ecole, laîcité, République, CRIF, Juif, sioniste, Catholique, intégristes, Sarkozy, régressions sociales, Musulman, Mère Teresa, Iran,
guerre...
Je vous donnerai prochainement une série de liens pour toutes sortes d'articles passionnants. En attendant, voici ce que
j'ai repéré sur le site (http://candide-exocet.skynetblogs.be/) d'un de mes lecteurs, qui vient de se signaler à moi, via un commentaire, sur mon blog http://r-sistons-actu.skynetblogs.be , d'ailleurs mis en place, en Belgique, au cas où Sarkozy tente de restreindre la liberté des
internautes.
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Sarkozy: pourquoi on le déteste.
Il n'est pas un homme d'Etat
Il n'est pas Français
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Sa cote de popularité oscille autour des 36% d’opinions favorables. Jamais vu pour un Président après un an de magistrature. Il se met à dos les enseignants, les
fonctionnaires, les magistrats, les notaires, les taximen, les ouvriers, les chômeurs et, last but not least, les grèvistes et les militaires ! Pardon, j’oubliais les cadres…derniers
en date !
On le déteste ! Peu l’aiment, même dans son camp. Il n’a pas son pareil pour exacerber les antipathies que provoquent et sa manière de faire et sa manière d’être.
Pourquoi ?
Parce que Sarkozy n’est pas un homme d’Etat. Tout juste un homme d’affaires, lui qui déclarait, il n’y a pas si longtemps : « J’aime le
capitalisme. » et qui en rajoutait dans une récente interview : « Après la présidence, je ferai du fric (sic), je n’en ai pas eu l’occasion jusqu’à présent
(resic) ».
C’est le Président-Directeur-Général de la S.A « France », ce n’est pas le Président de la
République.
Je n’aimais pas Giscard d’Estaing, mais je le respectais. Je n’ai jamais mis en cause sa magistrature suprême, il l’assumait à sa manière, arrogante et distante, mais, jamais je ne lui
aurais dénié sa prétention à nous représenter. De même pour Chirac, pour lequel je n’éprouvais aucune antipathie et avec qui j’aurais, s’il me l’eut proposé, accepté de boire un
verre.
Mais lui…
Sarkozy n’est pas Français ! Rien dans son agir et penser n’est conforme à ce que furent ses prédecesseurs. Il y a en lui ce je-ne-sais-quoi de
cosmopolite, dilué dans un consensus réduit aux acquêts matériels. Un coup du sonnant et trébuchant, une
culture du profit et de la rentabilité aux antipodes de l’esprit français.
Pire, il ne cache même pas son dédain pour tout ce qui fit et fait encore le caractère de notre nation ; notre amour de la chose publique, notre souçi de conserver ces acquis sociaux
étrennés au terme d’une guerre cruelle. Tout cela il le balaie, le livre sans vergogne aux impératifs d’une mondialisation anonyme à laquelle il s’identifie avec orgueil.
Et cela n’a rien à voir avec ses origines. Etre Français, au-delà de la langue, c’est l’esprit et l’imprégnation de ce dernier aux valeurs républicaines symbolisées par la devise:
Liberté, Egalité, Fraternité. C’est le goût de la contestation et de la critique.L’égalité, la fraternité, Sarkozy ne les reconnaît que dans la mesure où elles sont circonscrites à un
groupe, celui de ceux qui réussissent. La liberté n’a pour lui qu’un rôle opératif, tout juste un état qui permet d’acquérir et de jouir : « J’ai le droit d’être
heureux » (8 janvier 2008).
Si l’on se penche sur sa psyché, on découvre un personnage qui a grandi dans un milieu privilégié, a fréquenté des écoles de fils de riches, dans un quartier (Neuilly)
on ne peut plus friqué et réserve son amitié aux plus nantis, aux plus puissants que lui.
Mais c’est pour sa personne qu’il roule. L’amitié est toujours intéressée, le devoir, le sacrifice lui sont étrangers. Ce qu’il souhaite, c’est s’identifier totalement à ceux qui, sur le
plan financier, lui sont supérieurs, ce qu’il ne supporte pas.
Comment cela va-t-il finir ? Mal ! Je l’écris sans satisfaction aucune. Les choses étant ce qu’elles sont, la France a besoin d’une autre pointure que cet homme pour qui le
magistère n’est qu’une manière, comme un autre, pour se mettre au devant de la scène publique.
N’ayant jamais connu la France profonde, celle qui se bat pour un petit bonheur tranquille que le mondalisme menace, il risque de se retrouver d’ici quelques mois face à une fronde que
son cynisme aveugle ne conçoit même pas.
Cynisme qui le pousse à faire plaisir à son « ami » Berlusconi, et à lui livrer, pieds et poings liés, l’ex-brigatiste repentie, Marina Petrella, qui, depuis 1993, et sur la foi
de la parole de feu M. Mitterand, vit paisiblement en France, alors que, de l’autre côté, il propose, ni plus ni moins, l’asile politique en France aux membres des FARC
qu’il qualifie de « terroristes » !
Un gamin qui joue dans la cour des grands. C’est ainsi que le présentateur Poivre d’Arvoir l’avait qualifié l’année dernière quand il célébrait à l’Elysée son premier 14 juillet. Poivre,
pourtant courtisan affable et docile, a été mis brutalement hors circuit.
A nous d’en faire autant !