La Russie, dans son état actuel est l'incarnation parfaite du mal. Sans aucun doute. La vérité n'y existe pas. La tricherie est la norme. La fin justifie toujours les moyens. Maturité humaine 3/10 pour leurs leaders. Afin de garder sa population sous son influence, la gouvernement communiste de Vladimir Poutine fait usage de terreur, de crimes mortels, de corruption majeure sous toutes ses formes. La propagande fonctionne, on réussit à faire croire à son propre peuple que la haine doit se concentrer sur les Ukrainiens, contre l'Occident. On souhaite être très craints. La peur confirme le pouvoir. Tout intimidateur le sait. Les lâches en ont souvent besoin.
Mais il reste important de séparer les leaders de leurs citoyens quand même. C'est comme la Chine. Les rats sont capitaines de bateaux. Les matelots et passagers à bord, de faibles souris qu'on voudra garder toutes petites. Pour mieux les avaler. On dit souvent, à raison, que les élus ne représentent pas leur peuple. En Russie encore plus. La majorité des citoyens y est pauvre. Économiquement et d'éducation. Et ça, c'est le meilleur carburant à propagande. Ça fait des sous-éduqués, des éponges à désinformations. Ce que l'on vit ici aussi, à propos des vaccins, des mesures sanitaires et de la pandémie. Une haine internisée et inconsciemment innée, est exacerbée par l'état de fait que le pauvre (intellectuellement et économiquement) envie inconsciemment le mieux nanti. La pandémie, le désinformation Russe, viennent surfer sur la frustration existante et la gonfle. La Russie de Poutine souhaite redevenir soviétique et crainte partout dans le monde. Ça jubile au pouvoir, en ce moment, le monde entier a la chienne pour l'Ukraine et ses habitants.
Les citoyens Russes sont pauvres. Les citoyens Ukrainiens, nettement plus pauvres encore. L'élite au pouvoir Russe est obscène. Grotesquement riche. Afin de ne pas s'attirer de problèmes d'interprétations avec leur dirigeant, pratiquement tous les citoyens Russes se disent apolitiques ou confirment qu'ils n'ont rien contre le pouvoir en place. Afin de garantir leur propre survie et celle de leurs proches. C'est le propre des pays sous dictature. Les citoyens Russes sont beaucoup comme nous en ce moment. Terrorisés.
L'Estonie, la Pologne, les Pays Baltes voient deux coups en avant. Si on laisse faire, sommes nous les prochains ?Ils ne sont pas tellement différents de nous. Ils sont coincés sous le régime. Les Russes, les Ukrainiens, les peuples, pas leurs dirigeants. sont à plaindre.
C'est le coeur du soviétisme. La peur.
Il y a cette minorité qui s'oppose systématiquement contre Poutine, mais qui en paie le prix de leur santé, de leur liberté, de leur intégrité physique et de leurs vies toutes les fois. Ce qui décourage toute opposition. Ils s'expriment et souffriront davantage pour l'avoir fait. Outil des despotes, le silence forcé. Que le reste du monde se sente outré comme en ce moment est une chose admirable, mais les gens sur place (journalistes inclus) y risquent leurs vies tous les jours. Un regard incertain, quelques hésitations à confirmer un appui à un moment clé et vous pouvez tout simplement disparaître. Tout perdre, au Québec, à Los Angeles, à Paris, Londres ou ailleurs, ça n'a pas le même sens que tout perdre en Russie.
«Ce n'est pas aussi vital.Le médiocre nain fou au pouvoir, qui arme sans cesse ce qu'il veut, c'est le retour de l'ère Soviétique. Il veut punir l'Ukraine qu'il a tenté par deux fois d'effacer par écrit, dans des trappes à souris d'ententes, en 2004 et 2014, pièges qui ont, bien entendu, été refusés. Il veut aussi les anéantir parce que l'Ukraine veut, a toujours voulu, faire partie de l'Europe. Ce qui n'est pas Soviétique, nationalisme malsain. Il veut les punir de ne pas se laisser envahir et assimilé. Ils entrent en Ukraine "pour maintenir la paix"...
...Là où les Ukrainiens ne sont pas en guerre mais en zone défensive contre des gens qui leur promette d'être prochainement assiégés. Traduction: incursion. Variation: Invasion. Ingérence peut importe l'angle où on regarde la situation.
Une des priorités Russes est d'enrichir les élites, par l'exploitation des énergies fossiles. Qui seraient plus rentables encore, devinez-où? Oui, en Ukraine. En gardant sa population dans l'ignorance, relativement paralysée par la peur, on dirige sa pensée vers une haine démesurée de l'Occident et de tout ce qui s'y rattache. L'homosexualité, les valeurs du 21ème siècle, l'inclusivité n'y sont non bienvenus et contrés. La tolérance n'est généralement pas appliquée. Les Ukrainiens sont de l'autre côté du spectre. Du bon côté. Il y a probablement des millions de Russes qui rêveraient aussi d'être dans cet élan de pensée. Mais le mal est pouvoir. Le mal peut vous effacer aussi vite et facilement qu'on éteint une lumière.
Un empire russe sera toujours dirigé par un autocrate. Il aura toujours besoin de l'oppression pour régner ad vitam aeternam. Et dominant son peuple comme il le fait, c'est comme un couple dont le brutal mari est soupçonné de battre sa femme et qui serait votre voisin, les pays voisins craignent ce régime. À raison.
Les voisins sont devenus le monde entier. Imaginez si Trump, qui aurait fait des fellations à Poutine, était resté au pouvoir. L'Ukraine serait peut-être déjà de l'histoire ancienne.
Les États-Unis réagissent assez bien en montrant les dents. Mais pas trop encore.Les Allemands ont fait honneur au reste du monde en santé hier en suspendant le projet de pipeline Nordstream qu'ils avaient avec la Russie et en pénalisant leurs banques. Pour punir Poutine d'avoir reconnu deux bastions Ukrainiens comme territoires russes, illégalement. Et avoir souhaité ouvertement que l'Ukraine n'ai jamais existé. Confirmant le mépris de son voisin.
Poutine est le nouveau Trump. Une horreur.
Pour le peuple Russe, une erreur.