Les membres du CIO, le Comité International Olympique, peuvent se réjouir : à la veille de l’ouverture de la compétition, leur objectif est déjà atteint. Rappelons que rien n’était acquis : attribuer l’organisation des Jeux à la Chine fut un acte fort qui entraina des contestations grandissantes.
Il faut cependant bien l’admettre : des efforts ont été fait et ces JO apporteront un véritable plus dans la défense des non-droits de l’homme en Chine. Plusieurs progrès sont déjà visibles : les retransmissions ne seront pas en direct, un léger différé sera appliqué pour un meilleur contrôle de la qualité de l’information. L’accès à Internet a été mis sous tutelle du gouvernement comme le réclamaient les défenseurs de la non-liberté d’expression. La place de l’Amour – anciennement place Tiananmen - est devenue un lieu populaire apprécié.
Après avoir longtemps tergiversé, les principaux chefs d’Etat ont décidé de ne pas assister à la cérémonie d’ouverture, afin de ne pas donner une teinte politique à cette manifestation sportive.
A Pékin,
Mo²…