Robert Shetterly n’a jamais prévu de consacrer près de deux décennies de sa vie à peindre des portraits d’activistes.
Mais le partage des arrière-plans et des contributions des visages à l’acrylique et des citations gravées sur du contreplaqué a donné un nouveau sens à la vie de Shetterly, a déclaré l’artiste de 75 ans basé à Brooksville.
“C’est un problème”, a-t-il déclaré la semaine dernière en riant. « Je ne sais pas comment m’arrêter. Dès que j’entends une autre histoire, que ce soit de quelqu’un il y a 100 ans ou de quelqu’un la semaine dernière, je suis souvent immédiatement attiré par eux. Je veux peindre leur portrait.
Shetterly, qui est originaire de Cincinnati, Ohio, et vit dans le comté de Hancock depuis plus de 50 ans, a visité des lieux allant des sandwicheries aux bibliothèques d’écoles primaires pour partager son Les américains qui disent la vérité série de portraits. En racontant les histoires édifiantes de 260 militants jusqu’à présent qui ont défendu la justice raciale, sociale et climatique, il espère susciter quelque chose chez les gens, une sorte de courage et de motivation, en particulier chez les jeunes.
Shetterly veut que les étudiants réalisent leur pouvoir afin qu’ils puissent l’utiliser pour faire du monde un endroit plus juste et pacifique pour tous, a-t-il déclaré après une projection du Documentaire “Diseurs de vérité” au Thomas College de Waterville la semaine dernière.
Le documentaire, du cinéaste Richard Kane, relate le processus de Shetterly pendant qu’il développait le projet Les Américains qui disent la vérité et ce que signifie être un citoyen intrépide d’une démocratie. Shetterly a commencé la série de portraits en 2003 pour faire face à sa colère et à son chagrin en réponse à l’invasion de l’Irak par les États-Unis.
“Truth Tellers” mettait en vedette des militants tels que Maulian Dana, ambassadeur de la tribu de la nation Penobscot, et Zyahna Bryant, une militante qui a demandé la suppression du monument Robert E. Lee à Charlottesville, en Virginie. Il a été projeté au Camden Film Festival et au Virginia Film Festival, avec plus projections prévues ce printemps.
“J’aime l’ironie du fait qu’un enfant blanc comme moi de l’Ohio tire son courage de Frederick Douglass et tire son courage de Fannie Lou Hamer ou John Lewis”, a déclaré Shetterly dans le documentaire.
Récemment, Shetterly s’est fait un devoir de peindre de jeunes héros. Par exemple, il a fait pivoter certains des portraits exposés au Thomas College et a ajouté Amara Ifeji, qui a exigé un changement lorsqu’elle a réalisé la culture du racisme au Bangor High School. Elle voit l’intersection entre le racisme systémique et la dégradation de l’environnement et le changement climatique, a déclaré Shetterly.
Il a également peint Jaysa Hunter-Mellers, une fille de Bridgeport, Connecticut, qui à 10 ans a rallié sa communauté pour fermer la centrale électrique au charbon qui aggravait son asthme.
“Souvent, les jeunes peuvent avoir une voix très importante dans la justice sociale”, a déclaré Shetterly. “Ce n’est pas [always] adultes ou quelqu’un qui peut voter. C’est souvent la personne qui est prête à dire la vérité la plus puissante et à prendre des risques en le faisant.
Le projet Americans Who Tell the Truth dirige d’autres efforts destinés aux jeunes, tels que Dire la vérité aux jeunes, une série d’entretiens vidéo avec des sujets de portrait. Également Défi Samantha Smithun programme éducatif pour les collèges et lycées qui apprend aux élèves à participer à la résolution de défis pour le bien commun.
Parfois, les étudiants commencent par une idée comme acheter des chaussures de basket pour leur équipe, a déclaré Connie Carter, directrice de l’éducation des Américains qui disent la vérité. “Ensuite, ils écoutent Rob raconter certaines des histoires sur les portraits, et ils se disent:” Oh, je dois faire plus que ça “”, a-t-elle déclaré.
Après la projection de “Truth Tellers” la semaine dernière, Maddie Rock, une jeune étudiante en psychologie et en sciences politiques, a déclaré qu’elle admirait la vision de Shetterly d’examiner ses sentiments à l’égard de son pays et de sa communauté.
“Ce n’est pas parce que vous critiquez quelque chose que vous ne l’aimez pas”, a déclaré Rock, qui a aidé à coordonner l’événement de la Semaine de la diversité. “Critiquer les États-Unis et la façon dont nous gérons certaines choses terribles et impressionnantes ne signifie pas que nous détestons être américains. Cela signifie que nous critiquons quelque chose que nous aimons et apprécions tant.
Le travail de Shetterly invoque l’idée que l’Amérique est toujours un travail en cours, a déclaré Richard Biffle, qui enseigne l’anthropologie et l’éducation et est coprésident du Conseil du président sur la diversité, l’équité et l’inclusion.
“Ce pays a beaucoup de problèmes avec ça”, a-t-il déclaré. « Il y a une certaine finalisation que ce sont les lois, ce sont les normes, les valeurs, les croyances. Que nous sommes qui nous sommes, et qu’il ne s’agit pas de changement, d’évolution et d’aller de l’avant.
Bien que la lutte pour la justice ne soit pas toujours facile à expliquer aux jeunes, la série de portraits de Shetterly n’est pas destinée à fournir un ensemble de personnes sur des piédestaux, mais plutôt des modèles de citoyenneté courageuse, a-t-il déclaré.
“J’aime le travail éducatif que nous faisons”, a-t-il déclaré. « J’aime l’interaction avec les jeunes. J’aime rencontrer les gens que je peins. J’aime la façon dont ce projet a donné à ma vie une véritable mission.
Pour voir la série de portraits de Shetterly Americans Who Tell the Truth, visitez le site Internet.
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Robert Shetterly n’a jamais prévu de consacrer près de deux décennies de sa vie à peindre des portraits d’activistes.
Mais le partage des arrière-plans et des contributions des visages à l’acrylique et des citations gravées sur du contreplaqué a donné un nouveau sens à la vie de Shetterly, a déclaré l’artiste de 75 ans basé à Brooksville.
“C’est un problème”, a-t-il déclaré la semaine dernière en riant. « Je ne sais pas comment m’arrêter. Dès que j’entends une autre histoire, que ce soit de quelqu’un il y a 100 ans ou de quelqu’un la semaine dernière, je suis souvent immédiatement attiré par eux. Je veux peindre leur portrait.
Shetterly, qui est originaire de Cincinnati, Ohio, et vit dans le comté de Hancock depuis plus de 50 ans, a visité des lieux allant des sandwicheries aux bibliothèques d’écoles primaires pour partager son Les américains qui disent la vérité série de portraits. En racontant les histoires édifiantes de 260 militants jusqu’à présent qui ont défendu la justice raciale, sociale et climatique, il espère susciter quelque chose chez les gens, une sorte de courage et de motivation, en particulier chez les jeunes.
Shetterly veut que les étudiants réalisent leur pouvoir afin qu’ils puissent l’utiliser pour faire du monde un endroit plus juste et pacifique pour tous, a-t-il déclaré après une projection du Documentaire “Diseurs de vérité” au Thomas College de Waterville la semaine dernière.
Le documentaire, du cinéaste Richard Kane, relate le processus de Shetterly pendant qu’il développait le projet Les Américains qui disent la vérité et ce que signifie être un citoyen intrépide d’une démocratie. Shetterly a commencé la série de portraits en 2003 pour faire face à sa colère et à son chagrin en réponse à l’invasion de l’Irak par les États-Unis.
“Truth Tellers” mettait en vedette des militants tels que Maulian Dana, ambassadeur de la tribu de la nation Penobscot, et Zyahna Bryant, une militante qui a demandé la suppression du monument Robert E. Lee à Charlottesville, en Virginie. Il a été projeté au Camden Film Festival et au Virginia Film Festival, avec plus projections prévues ce printemps.
“J’aime l’ironie du fait qu’un enfant blanc comme moi de l’Ohio tire son courage de Frederick Douglass et tire son courage de Fannie Lou Hamer ou John Lewis”, a déclaré Shetterly dans le documentaire.
Récemment, Shetterly s’est fait un devoir de peindre de jeunes héros. Par exemple, il a fait pivoter certains des portraits exposés au Thomas College et a ajouté Amara Ifeji, qui a exigé un changement lorsqu’elle a réalisé la culture du racisme au Bangor High School. Elle voit l’intersection entre le racisme systémique et la dégradation de l’environnement et le changement climatique, a déclaré Shetterly.
Il a également peint Jaysa Hunter-Mellers, une fille de Bridgeport, Connecticut, qui à 10 ans a rallié sa communauté pour fermer la centrale électrique au charbon qui aggravait son asthme.
“Souvent, les jeunes peuvent avoir une voix très importante dans la justice sociale”, a déclaré Shetterly. “Ce n’est pas [always] adultes ou quelqu’un qui peut voter. C’est souvent la personne qui est prête à dire la vérité la plus puissante et à prendre des risques en le faisant.
Le projet Americans Who Tell the Truth dirige d’autres efforts destinés aux jeunes, tels que Dire la vérité aux jeunes, une série d’entretiens vidéo avec des sujets de portrait. Également Défi Samantha Smithun programme éducatif pour les collèges et lycées qui apprend aux élèves à participer à la résolution de défis pour le bien commun.
Parfois, les étudiants commencent par une idée comme acheter des chaussures de basket pour leur équipe, a déclaré Connie Carter, directrice de l’éducation des Américains qui disent la vérité. “Ensuite, ils écoutent Rob raconter certaines des histoires sur les portraits, et ils se disent:” Oh, je dois faire plus que ça “”, a-t-elle déclaré.
Après la projection de “Truth Tellers” la semaine dernière, Maddie Rock, une jeune étudiante en psychologie et en sciences politiques, a déclaré qu’elle admirait la vision de Shetterly d’examiner ses sentiments à l’égard de son pays et de sa communauté.
“Ce n’est pas parce que vous critiquez quelque chose que vous ne l’aimez pas”, a déclaré Rock, qui a aidé à coordonner l’événement de la Semaine de la diversité. “Critiquer les États-Unis et la façon dont nous gérons certaines choses terribles et impressionnantes ne signifie pas que nous détestons être américains. Cela signifie que nous critiquons quelque chose que nous aimons et apprécions tant.
Le travail de Shetterly invoque l’idée que l’Amérique est toujours un travail en cours, a déclaré Richard Biffle, qui enseigne l’anthropologie et l’éducation et est coprésident du Conseil du président sur la diversité, l’équité et l’inclusion.
“Ce pays a beaucoup de problèmes avec ça”, a-t-il déclaré. « Il y a une certaine finalisation que ce sont les lois, ce sont les normes, les valeurs, les croyances. Que nous sommes qui nous sommes, et qu’il ne s’agit pas de changement, d’évolution et d’aller de l’avant.
Bien que la lutte pour la justice ne soit pas toujours facile à expliquer aux jeunes, la série de portraits de Shetterly n’est pas destinée à fournir un ensemble de personnes sur des piédestaux, mais plutôt des modèles de citoyenneté courageuse, a-t-il déclaré.
“J’aime le travail éducatif que nous faisons”, a-t-il déclaré. « J’aime l’interaction avec les jeunes. J’aime rencontrer les gens que je peins. J’aime la façon dont ce projet a donné à ma vie une véritable mission.
Pour voir la série de portraits de Shetterly Americans Who Tell the Truth, visitez le site Internet.
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