Quand la science se fourvoie, les conséquences sont dramatiques pour l'humanité

Publié le 28 février 2022 par Guy Deridet

Un article de Filipe Rafaeli, pour France Soir qui m'a particulièrement touché, car il m'a permis de répondre moi aussi à une question que je me suis posée très souvent.



Pour bien comprendre ce dont il s'agit, je vous suggère de lire d'abord l'article puis de revenir à mes commentaires.



L'article de Filipe Rafaeli






N.D.L.R

Je suis né à Berlin en Allemagne, d'une mère allemande et d'un père français, engagé dans le maquis à 16 ans et qui en 1945 a choisi de continuer la guerre, jusqu'à Berlin, dans la division Rhin et Danube du Maréchal Leclerc, qui a, avec les armées alliées : américaine, russe et anglaise, jusqu'en 1949, fin officielle de l'occupation alliée en Allemagne.

Je suis donc à moitié allemand par ma mère. Ce qui m'a valu dans les années 50, en France, d'être très souvent traité de "sale boche" par mes petits camarades d'école primaire.

Lorsque j'ai eu connaissance de la Shoah, par le film "Nuit et brouillard" diffusé dans mon école, je n'ai pas manqué, compte tenu de mes origines, de me poser des questions sur la conduite des Allemands pendant la guerre et notamment vis-à-vis des juifs.

Comme l'auteur de cet article, je n'ai jamais pu comprendre comment le peuple allemand avait pu laisser faire une telle horreur. Bien sûr, l'existence des camps de concentration n'était pas connue de tous, loin de là, mais le peuple ne pouvait ignorer les exactions dont furent victimes les juifs, même avant la deuxième guerre mondiale.

Il se trouve par ailleurs que lors de la récente pandémie, bien que soi-disant cible favorite du coronavirus (j'ai 75 ans) je n'ai jamais été malade et je ne me suis jamais fait vacciner. Considérant, après m'être dûment renseigné auprès de sources certes non officielles, mais scientifiques et sérieuses, que je prendrai plus de risques à me faire vacciner qu'en ne le faisant pas.

Et, partant du principe qu'une personne disposant d'un excellent système immunitaire, ce qui est mon cas, puisque je fais du sport tous les jours, je mange sainement, je ne bois pas, je ne fume pas, et je ne suis jamais malade, a peu de chances, même si elle est âgée, d'être touchée par ce virus. Et, si elle l'était, ce serait sans gravité.

Mes sources d'information devaient être les bonnes car, deux ans plus tard, je n'ai jamais été touché par ce virus et je n'ai même jamais subi de test PCR !

Je précise que je ne me suis jamais terré chez moi pendant toute la pandémie, je sortais tous les jours pour marcher et courir dans l'immense parc boisé de ma résidence (110 000 m²). De plus, dès que les restaurants ont rouvert, je mangeais au restaurant (seul lieu confiné où l'on est dispensé du port du masque) tous les deux jours. Si l'on me tendait la main, je la prenais, et je ne mettais jamais mon masque à l'extérieur. Sauf quand je voyais un policier.

Au demeurant en ne me faisant pas vacciner je n'ai pas pris trop de risques parce que de toute ma déjà longue vie ;

  • En Europe je n'ai jamais eu la grippe,

  • j'ai habité 16 ans aux Antilles et je n'ai jamais eu la dengue,

  • j'étais en poste à la Réunion lors de l'épidémie de chikungunya, alors que 70 % de la population était atteinte par ce virus, je n'ai rien eu du tout.

Je dois donc bénéficier, en plus de mon immunité acquise grâce à une vie très saine depuis le début de ma retraite en 2007, d'une sorte d'immunité naturelle en ce qui concerne les virus connus à ce jour.

Cela dit, en tant que non vacciné, j'ai pu ressentir la haine palpable des vaccinés à l'égard des non vaccinés. Et, observer sur Internet, en qualité de blogueur, les discours fascisants de beaucoup de "bon français".

J'ai pu aussi réaliser, comme l'auteur de cet article, que les fourvoiements inhabituels de la science "officielle" pendant cette pandémie peuvent effectivement expliquer la haine des vaccinés à l'égard des non-vaccinés. Si l'on avait été en temps de guerre mondiale, nul doute que l'on nous aurait fait subir des sévices autrement plus importants que le pass sanitaire et les crachats virtuels des médias officiels et des "journalistes" aux ordres.

J'ai pu aussi mieux comprendre, sinon excuser, l'attitude du peuple allemand envers les juifs, pendant la deuxième guerre mondiale.

La haine, lorsqu'elle s'appuie sur une science dévoyée et des gouvernements qui affolent sciemment leurs populations (parce qu'ils sont incapables de faire autre chose) rend fou n'importe quel "bon allemand" ou "bon français". Ou même n'importe quel peuple de la terre.