Cent soixante, cent quatre-vingt. Ronflement de mon six cylindres, Musique minimale d’Underworld. Deux cents, deux cent vingt. Tout est immobile. Habillé de métal, Je suis le seul vivant. Voyage au pays des morts. Sur ma gauche, un rail. Envie de le toucher, De devancer l’appel, De vivre mon dernier futur. (poème inspiré par mon livre Par hasard et pour rien)