Qu’est-ce que l’utilisation des médias numériques et de la technologie a rendu possible pour ce projet ?
Les médias numériques nous ont permis d’atteindre un public plus large, plus rapidement, mais les médias numériques font également partie de notre philosophie. Notre objectif est de diffuser le patrimoine de différentes manières, allant au-delà des méthodes traditionnelles, allant du conte au théâtre ou aux installations artistiques. Par conséquent, les mondes de l’animation et des images en mouvement ouvrent des possibilités illimitées pour partager les cultures traditionnelles, les adapter au présent, dévoiler leurs énigmes et raconter les histoires de leurs victoires et de leurs défaites.
Nous sommes également intéressés à parler de culture et de traditions disparues – le cinéma, les animations et les documentaires que nous projetons nous sont indispensables pour dénoncer les différentes formes d’extinction du patrimoine. Nous le faisons via nos choix de programme (par exemple, ‘Nawabi Baluchiari‘ par T. Banerjee, ‘Tourneiro de Mouraria‘ par T. Sarantopoulos) et avec l’aide des actions médiatiques de nos partenaires liées à la défense du patrimoine naturel et culturel (comme Survie Brésil, Incomindios-UK, Crowd-Recyclingou ‘Yasuni Vert Or‘ par G. Haro). Nous projetons également des films avec des installations sur le renouvellement des rituels du patrimoine culturel (par exemple, ‘Je brûle‘ d’Andreu Signes). le appel à films et animations sur le patrimoine pour 2022 est ouvert maintenant !
Comment votre public a-t-il réagi à ce projet ?
Nous avons de la chance car le public réagit très bien à nos activités. Les gens apprécient le projet, qu’ils soient impliqués dans des présentations, des débats, des installations ou des discussions en espace ouvert. Le public s’attache à des niveaux très différents. A Trafaria, Lisbonne et Évora, nous avons un public fidèle ; certains ont même participé à des courts métrages promus par nos membres !
Les enfants sont ravis lorsque nous avons programmé des installations ou des jeux vidéo, tandis que les parents, les éducateurs et les enseignants souhaitent également faire plus d’activités (donc, nous programmerons plus de séances didactiques prochainement).
Par exemple, lorsque nous projetons lors de conférences ou lors de la Nuit européenne des chercheurs, les gens veulent collaborer avec nous pour projeter nos films. En général, notre programmation non commerciale est toujours reçue avec beaucoup d’intérêt et de curiosité. Les organisations avec lesquelles nous collaborons nous invitent souvent à revenir. Tout cela montre que beaucoup de choses peuvent être faites avec un petit budget et un grand enthousiasme !
Qu’est-ce que l’utilisation des médias numériques et de la technologie a rendu possible pour ce projet ?
Les médias numériques nous ont permis d’atteindre un public plus large, plus rapidement, mais les médias numériques font également partie de notre philosophie. Notre objectif est de diffuser le patrimoine de différentes manières, allant au-delà des méthodes traditionnelles, allant du conte au théâtre ou aux installations artistiques. Par conséquent, les mondes de l’animation et des images en mouvement ouvrent des possibilités illimitées pour partager les cultures traditionnelles, les adapter au présent, dévoiler leurs énigmes et raconter les histoires de leurs victoires et de leurs défaites.
Nous sommes également intéressés à parler de culture et de traditions disparues – le cinéma, les animations et les documentaires que nous projetons nous sont indispensables pour dénoncer les différentes formes d’extinction du patrimoine. Nous le faisons via nos choix de programme (par exemple, ‘Nawabi Baluchiari‘ par T. Banerjee, ‘Tourneiro de Mouraria‘ par T. Sarantopoulos) et avec l’aide des actions médiatiques de nos partenaires liées à la défense du patrimoine naturel et culturel (comme Survie Brésil, Incomindios-UK, Crowd-Recyclingou ‘Yasuni Vert Or‘ par G. Haro). Nous projetons également des films avec des installations sur le renouvellement des rituels du patrimoine culturel (par exemple, ‘Je brûle‘ d’Andreu Signes). le appel à films et animations sur le patrimoine pour 2022 est ouvert maintenant !
Comment votre public a-t-il réagi à ce projet ?
Nous avons de la chance car le public réagit très bien à nos activités. Les gens apprécient le projet, qu’ils soient impliqués dans des présentations, des débats, des installations ou des discussions en espace ouvert. Le public s’attache à des niveaux très différents. A Trafaria, Lisbonne et Évora, nous avons un public fidèle ; certains ont même participé à des courts métrages promus par nos membres !
Les enfants sont ravis lorsque nous avons programmé des installations ou des jeux vidéo, tandis que les parents, les éducateurs et les enseignants souhaitent également faire plus d’activités (donc, nous programmerons plus de séances didactiques prochainement).
Par exemple, lorsque nous projetons lors de conférences ou lors de la Nuit européenne des chercheurs, les gens veulent collaborer avec nous pour projeter nos films. En général, notre programmation non commerciale est toujours reçue avec beaucoup d’intérêt et de curiosité. Les organisations avec lesquelles nous collaborons nous invitent souvent à revenir. Tout cela montre que beaucoup de choses peuvent être faites avec un petit budget et un grand enthousiasme !
— to pro.europeana.eu