Longtemps il a refusé de quitter la ville et la mélopée rassurante de ses voitures, la vision apaisante des piétons, des cyclistes, des coureurs et de la civilisation. Même lorsqu’on lui a affirmé qu’il devait se mettre au vert pour son fils, il hésitait. Et puis sa conscience paternelle a pris le dessus.
Ici, il n’y a que des vaches, des prairies et du silence. Sur un calendrier des postes, il coche les jours en rêvant de mers de toits, de files de voitures, de transports en commun et du brouhaha de la ville.