Non, je refuse de croire que ce Dieu de chrétiens ne veux pas écouter ce pauvre étudiant congolais. Comme sur qui on a appelé le malheur, un maudit en quelque sorte.
Il peine, il galère… il mène une vie extraordinaire. Sans bourse d’étude, il est délaissé de tous. Il patauge dans la gadoue, comme un fils d’irresponsable. Oui, j’ai trouvé le mot juste, « irresponsable ». Sans crainte d’être contredit, ce gosse d’étudiant est dépourvu de tuteur.
Parce que j’espère que ce Dieu, en qui les chrétiens croient, va cette fois-ci écouter ce pauvre maudit, qui est contraint de multiplier ses fréquences de prière, car dès le début de la nouvelle année académique, en septembre prochain, il sera obligé de soutirer de sa vide tirelire, une somme de 25 dollars américains, pour l’acquisition de sa carte d’étudiant. Une carte unique à tous les étudiants de la république. Comme si c’était une priorité. Je l’implore en ce termes : Dieu, souviens toi de ce pauvre étudiant congolais !