- C’est le chien qui a donné l’alerte.
Le brigadier de gendarmerie regarde tour à tour l’homme puis la femme puis il hoche la tête et s’intéresse au corps, indemne de toute trace de violence.
Tout de même, se dit-il, diriger la plus grande entreprise de textile d’Europe et mourir de froid, à poil dans la nuit de Corrèze, quelle déveine. Alors, portant un regard d’airain sur les parents éplorés, il déclare avec solennité que politique et alcoolisme mènent bien des hommes à la folie.