Adepte d’arts martiaux, il transforma son garage en dojo puis son terrain en jardin zen. Pour signifier à ses enfants qu’il était l’heure de passer à table, il tapait dans un immense gong installé dans le salon. Ils mangeaient en kimono, assis en tailleur sur une table basse, du riz collant et du poulet laqué à l’aide de baguettes.
Son épouse musicienne trouvait ridicule de vivre ainsi alors qu’ils habitaient le Cantal. Lors d’un concert philarmonique à Aurillac, elle tomba folle amoureuse du chef d’orchestre et plaqua tout pour vivre avec lui. Bien sûr, il était japonais.