Quoi qu'il en coûte ? Cela s'applique-t-il à l'épidémie, ou à la réélection ?
On peut se poser la question. Crise de l'énergie, événementiel en panne... Argent public. Un dirigeant m'écrit qu'il ne trouve pas très sain de gagner plus d'argent à ne rien faire qu'à travailler.
Le gouvernement sait-il comment rembourser des dettes qui s'ajoutent aux dettes, avec une économie qui est en déficit structurel depuis deux décennies ? Maintenir à flot l'existant est peut être nécessaire, mais pas suffisant : comment peut-il être adapté au monde de demain, alors qu'il était mal en point avant l'épidémie ? Et qu'arriverait-il si, par dessus le marché, il y avait une crise mondiale ?
Ne faudrait-il pas se poser sérieusement la question ? Lui trouver une réponse ne serait-ce pas un moyen moins coûteux pour se faire réélire que la subvention massive ?