L’endurance (la vie ?) n’est plus autre chose, peut-être, que de maintenir nos visages dans le jour, enfouis dans les heures.
Mais nous ne sommes là que par instants. Fugitivement. Du regard. Seulement du regard.
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Thierry Metz (1956-1997) – L’homme qui penche (Opales/Pleine page, 1997)