Mettons que la désunion de la gauche à la présidentielle soit liée à la perversion de la Vème république et de cette mascarade de la rencontre entre un « Homme » et un peuple.
Pour les législatives, une désunion serait, par contre, uniquement due aux états-majors de tous les partis de gauche et des associations qui les soutiennent. Si pour des questions partisanes (de financement lié au nombre de députés), ou individuellement (député sortant ad vitam aeternam), l’union n’est pas franche et massive, le désespoir sera total et la responsabilité des dirigeants de ces formations immense.
Car je suis sûr que les pauvres gens, comme le disait Victor Hugo, ne leur pardonnerait jamais.