De la maternelle au lycée, la situation est devenue explosive depuis la rentrée pour les élèves, les familles, les personnels.
Cette réalité est sous tendue par des années d’économie sur le dos de l’école. Le SNES a calculé que les 7 500 postes supprimés depuis 2017 dans le secondaire équivalaient à la disparition de 166 collèges.
Rien depuis la pandémie n’a été fait. Pas d’aménagement des programmes, des examens aménagés à la dernière minute, aucune anticipation : Les élèves paient cash.
Blanquer parle d’école ouverte, mais dans la réalité, il organise la déscolarisation des enfants.
Section PCF de Sète