Vie brève, la mort infinie.
L’espoir tend ses rets d’oiseleur.
Anxieuse une étoile file,
Se hâte vers une autre nuit.
Désirs, astres inaccessibles.
Et l’ombre est noire, du bonheur.
***
Louis Brauquier (1900-1976) – Hivernage (1978) – Je connais des îles lointaines (La table Ronde, 2000)