Tu marches sans chemin,
Derrière un char de sapins frais.
Et tu voudrais encore,
Comme autrefois dans les ornières,
Casser les tuiles du verglas.
Dis le seul feu que tu respectes.
Il se peut que pleurer
Bientôt plus ne suffise.
Tu marches sans chemin,
Derrière un char de sapins frais.
Et tu voudrais encore,
Comme autrefois dans les ornières,
Casser les tuiles du verglas.
Dis le seul feu que tu respectes.
Il se peut que pleurer
Bientôt plus ne suffise.