Petits textes tout simples de quelques pages chacun. La première partie du livre a pour thème la guerre de 1870, la seconde est une collection de nouvelles sans réel fil directeur.
Leur particularité ? Elles racontent des vies de "petites gens", qui subissent l'Histoire. Il n'y a pas de bons et de mauvais, ici. Alphonse Daudet n'est pas de notre temps. D'ailleurs, il n'y a pas que des hommes dans ces contes. On y trouve aussi le reportage d'un jeune perdreau le jour de l'ouverture de la chasse. Une métaphore ?