Côté dada, comme prévu, Eric Navet a remporté le titre de Champion de France dimanche à Fontainebleau. A 48 ans, il s'adjuge son cinquième titre national qui s'ajoute donc notamment à des titres mondiaux et européens tant par équipes qu'en individuel. Le problème en équitation, c'est que les cavaliers perdent régulièrement leurs chevaux. Peu sont en effet propriétaires de leur monture et doivent donc faire avec la volonté ou pas des propriétaires de garder leurs chevaux ou de les vendre. Eric Navet, réputé pour être l'un des meilleurs cavaliers de la planète, est ainsi privé pour le moment du très haut niveau, faute d'un cheval de calibre international. Avec l'explosion d'Hym d'Isigny cette saison, le Normand a peut-être retrouvé un partenaire susceptible de lui ouvrir à nouveau les portes des grands rendez-vous.
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Rien à voir avec le sport (on est même assez loin même si la passion est un point commun), mais comme c'est une amie qui s'est lancée dans ce blog, allez faire un tour sur http://colifatosdelmundo.blogs.psychologies.com/mon_weblog/
En voici une petite présentation (ça fait un peu peur au début mais allez y faire un tour pour votre info générale). Christine, si tu veux ajouter quelque chose, n'hésite pas ;)
Colifata. Drôle de nom, on dirait le titre d’une chanson ou d’une danse pour tout-petits. Pour les non-hispanisants, cela signifie «cinglé», ou «barge», ou «zinzin», ou toute autre traduction familière pour le terme de «Folie». Car c’est bien ce qu’est la Colifata : une radio de fous ! Sans camouflage derrière un jeu de mots : la radio LT 22 La Colifata est née en 1991 à l’hôpital psychiatrique de la Borda, Buenos Aires, sous l’impulsion d’Alfredo Olivera, un jeune psychologue qui démarrait dans la profession. Une radio faite par une poignée de fous (des vrais), diffusée en interne dans un premier temps avant qu’elle n’émette à l’extérieur… et l’extérieur est vaste pour ces patients : la ville de Buenos Aires, la région, d’autres parties du pays… comme pour les ondes radio, ce programme s’est propagé et a permis la création d’autres radios « colifatas » : au Chili, en Uruguay, en France, en Italie, en Espagne… (...) Par la suite, j’ai eu la chance d’aller assister à l’un des directs de l’émission La Colifata (chaque samedi après-midi), en vacances en Argentine et c’est vrai, la folie peut déranger car elle oblige à s’interroger sur sa propre normalité, sur la façon dont on perçoit celui qui est différent.