Ce blog explique que nos hauts fonctionnaires court-circuitent, en maîtres, les mécanismes qui s'opposent à leurs plans. Ne font-ils pas le bien commun ? Ce qui lui résiste n'est-il pas pure arriération ?
Et c'est comme cela que l'on découvre, avec surprise, que tel ou tel "champion national" a accumulé 70md€ de dettes (presqu'un plan de relance), que la nation va devoir rembourser. Et c'est aussi comme cela qu'elle se trouve devant des faits accomplis qui ne sont ni bons pour elle, ni tout à fait conformes à ce qu'en attendaient leur auteur. Ce qui provoque le mécontentement dont se nourrit le "populisme". Il n'y a pas de complot sans feu.
Et voilà pourquoi il ne faut pas cracher sur la résistance au changement. Elle force le dirigeant, qui la respecte, non seulement à faire bien, mais aussi et surtout à donner le meilleur de lui-même, ce pourquoi il occupe son poste. C'est la résistance au changement qui révèle l'élite, pas l'Education nationale.