Je lui ai présenté mes fesses, mon dos où il se fend et enfle pour faire deux oreillers à la joie blessée des hommes, pour tracer un chemin creux à son arme d'amour. Du souffle long de la dormeuse j'ai laissé mes fesses offrir leur lumière et proposer leur ombre, par amour je l'ai fait, par amour il l'a compris, et je crois qu'il s'est endormi.
Alina Reyes, Sept Nuits
Partager cet article Repost0 &version; Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous : Vous aimerez aussi : Cet amour, Adèle, m’a complètement subjugué A la fin je baiserai ton cœur Lui : Ton mari, il sait cette histoire ? Vous êtes entrée chez moiEmois
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