M.Scholz, successeur de Mme Merkel, dit que, pour lui, rien n'a changé. En particulier, il a l'habitude de travailler avec M.Macron.
Pendant sa campagne, il a expliqué qu'avec lui il n'y aurait pas de changement. Il était le digne héritier de Mme Merkel, avec qui il a longtemps collaboré.
Une ambassadrice canadienne en Allemagne expliquait que Madame Merkel avait éliminé ses concurrents de la CDU. D'où, selon elle, la défaite de son parti.
Le paradoxe du parti politique ? On préfère ses adversaires à ses camarades ?
(Les effets imprévus de la concurrence...)