Les dirigeants de PME ont fait des miracles pendant la crise, mais sont retombés dans la routine, me disait un consultant. Il était très déçu que les entreprises françaises n'aient pas profité des événements pour se moderniser radicalement. Le problème de leur sous-performance reste donc entier.
Cela rappelle qu'il n'y a pas changement sans "anxiété de survie". Et que la crise est probablement le moyen le plus efficace de la créer.
C'est, probablement, un argument en faveur du vote Macron : s'ils reviennent au pouvoir, nos partis politiques traditionnels reprendront rapidement leurs mauvaises habitudes.
Vivrons-nous un jour à l'âge de la raison ?