Dans un livre à paraître chez Mémoire d’encrier en janvier, Ferdinand je suis à Paris, Jean-Claude Charles écrit ses amours et la vie parisiennes. J’y reviendrai certainement dans quelques jours. Dans le chapitre 13, je relève les mots suivants :
« Il y eut des gestes simples.
La porte.
L’ascenseur.
L’escalier.
La porte.
(…)
Puis il y eut d’autres gestes simples.
Avaler une aspirine.
Gober un oeuf cru.
La grimace de Jenny.
Un truc de sa grand-mère. »
Sur ce modèle je vous invite à écrire, à votre tour des gestes simples : d’abord quatre étapes (minimum) pour accéder à la rue, à la ville, sans verbe ; puis quatre gestes (minimum) de la vie courante, qu’ils soient de vous ou de quelqu’un de votre connaissance, avec éventuellement des verbes à l’infinitif.
Exemple :
Il y eut des gestes simples.
La porte.
Les deux tours de clé.
L’escalier.
La porte.
La rue.
Le retour à l’escalier.
La porte.
Le masque.
La porte.
L’escalier.
La porte.
La rue.
Puis il y eut d’autres gestes simples.
Commander un café.
Le boire au comptoir.
Parler avec S., sa cigarette à la main.
Rentrer dans la librairie.
Accrocher mon blouson.
C’est à vous main tenant. Partagez ici quelques gestes simples, quotidiens ou presque. Et postez-les dans les commentaires ci-dessous. Merci.