Smita est une intouchable indienne qui rêve d’un autre destin pour sa fille.
Giulia, en Sicile, travaille dans l’entreprise familiale et découvre que l’entreprise est au bord de la faillite.
Sarah, au Canada est une brillante avocat dont la brillante carrière est mise à mal par la maladie.
Ces trois femmes de culture et d’origines que tout oppose ont en commun la force de mener chacune un combat pour échapper à leur destin, en s’échappant de son milieu social pour l’une, et tentant de s’y maintenir pour les autres.
La tresse s’entremêle au fil des pages et des luttes de Smita, Giulia et Sarah.
Lorsque à la fin d’un roman on a une larme d’émotion, c’est que c’était un bon roman.
« La tresse », on peut même dire que ça décoiffe !