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Plus l’être humain se sédentarise, plus il oublie !
Qu’est-ce que la vie ? A quoi sert la vie ? Etre libre ou esclave ? Etre esclave de quoi de qui ? D’un lieu, un métier ? D’une femme, un conjoint, des enfants… un patron, des ouvriers… ? Dans l’absolu, personne n’est esclave de personne. Mais au point de vue relatif, si nous y réfléchissons un moment, on peut s’apercevoir que nous nous rendons esclave de beaucoup de choses. Et le plus étrange dans tout ça, c’est que nous ne nous en rendons même pas compte. Nous nous retrouvons esclave et prisonnier de nos habitudes, de nos conceptions mentales jusqu’à en arriver à y croire. Nous ne faisons plus de distinction entre le sujet et l’objet. Qu’est-ce qui pense et qu’est-ce qui agit ? Nous préviligeons l’instant présent et l’agir au détriment de la réflexion sur les motivations réelles de nos actions. Sont elles justes, ne le sont elles pas ?
Plus l’être humain se sédentarise, plus il oublie. Que faire alors pour ne pas tomber dans ce piège ? Facile, il nous suffit juste d’être conscient de ce que nous faisons dans l’instant présent. Vous pensez que c’est simple, pourtant ça ne l’est pas. Pourquoi ? Parce que si vous l’étiez vous ne reproduirez pas sans arrêt vos erreurs. Je vous rassure nous le faisons tous ! Ce qui nous en amène à la chose suivante : pourquoi, nous reproduisons sans arrêt nos erreur ? Réfléchissez ? Tout simplement parce que nous ne croyons pas en nous, encore moins en la vie. Et encore moins dans les synchronismes pour nous amener à comprendre que tout est juste. Comment pouvons nous comprendre que ce que nous vivons est juste, lorsque nous souffrons ? Ce n’est pas possible, et pour cause. Qui le pourrait ? Personne ! Le processus est identique pour chacun d’entre nous et la seule façon qu’il nous reste pour déjouer ce piège c’est de nous regarder droit dans les yeux dans un miroir et de nous poser en conscience la question suivante : Suis-je heureux ? Si la réponse est oui, pas de souci, tout va bien. Si ce n’est pas le cas… Il ne nous reste plus qu’à analyser ce qui ne va pas, pour ensuite changer nos habitudes.