Kayode Tokede
La Securities and Exchange Commission (SEC) a appelé les décideurs politiques et les acteurs du marché des capitaux à tirer parti de la technologie pour élargir l’accès aux services financiers et approfondir l’inclusion financière.
Le directeur général de la SEC, M. Lamido Yuguda, a déclaré cela lors de l’atelier 2021 de l’Association des correspondants des marchés des capitaux du Nigeria (CAMCAN) qui s’est tenu à Lagos ce week-end.
Yuguda a déclaré que la technologie continuerait de jouer un rôle essentiel dans l’élargissement de l’accès à des services financiers abordables.
Yuguda, qui était représenté par le commissaire exécutif chargé des opérations, M. Temidayo Obisan, a déclaré qu’en plus d’élargir l’accès à des services financiers abordables, il fournit également des moyens rentables d’atteindre le marché inexploité, en particulier dans les zones rurales.
Selon lui, il y avait plus de 191 millions et 140 millions d’abonnés mobiles actifs et d’abonnés aux données actifs au Nigeria au 3 octobre 2021.
Yuguda a souligné la nécessité pour les participants du marché de tirer parti de la technologie pour combler l’énorme écart d’inclusion financière qui existe actuellement sur ce marché et amener les personnes non bancarisées dans l’espace financier.
Il a souligné que combler cet écart aiderait à réduire le coût des transactions financières car cela implique peu ou pas de coûts d’infrastructure et offre la plus grande portée.
« Tirer parti de la technologie pour offrir des services financiers présente un avantage par rapport aux moyens traditionnels car il permet de briser les contraintes géographiques. Il simplifie également les moyens de servir les clients existants par exemple grâce à l’utilisation d’agents bancaires mobiles pour effectuer des transactions bancaires.
“Les institutions financières utilisent de plus en plus les canaux électroniques pour intégrer les clients et répondre aux demandes des clients et proposer des offres de produits financiers aux utilisateurs potentiels”, a-t-il déclaré.
Concernant les mesures adoptées jusqu’à présent par la commission pour stimuler l’inclusion financière au Nigeria, Yuguda a déclaré que la SEC travaillait actuellement avec la Fund Managers Association of Nigeria (FMAN) pour accélérer l’inclusion financière dans les programmes d’investissement collectif.
Il a ajouté que la commission proposait un défi hackathon pour aider à développer une suite complète de services mobiles basés sur Internet visant à avoir des processus de bout en bout de l’ensemble du marché des capitaux.
S’exprimant également lors de l’événement, le directeur adjoint de HOD Securities and Investment Services de la SEC, M. Abdulkadir Abbas, a déclaré qu’une collaboration active de toutes les parties prenantes du marché était nécessaire pour aider à conduire l’initiative.
Selon lui, l’adoption de la technologie peut aider à ouvrir le marché des capitaux et à combler le fossé des non bancarisés, ce qui a créé un espace pour la prolifération de points de vente non enregistrés qui ont continué à escroquer les investisseurs de leurs ressources sur le marché.
Il a déclaré : « L’âge moyen de participation au marché des capitaux est de 53 ans alors que le pouvoir est dans les jeunes. Nous devons amener ces jeunes à jouer sur le marché des capitaux.
« Nous avons besoin d’une infrastructure de marché pour conduire cette initiative et de quelques outils pour aider les gens à embarquer dans les zones rurales. Nous avons ces exigences, c’est le point de départ », a déclaré Abbas.
Comme ça:
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Kayode Tokede
La Securities and Exchange Commission (SEC) a appelé les décideurs politiques et les acteurs du marché des capitaux à tirer parti de la technologie pour élargir l’accès aux services financiers et approfondir l’inclusion financière.
Le directeur général de la SEC, M. Lamido Yuguda, a déclaré cela lors de l’atelier 2021 de l’Association des correspondants des marchés des capitaux du Nigeria (CAMCAN) qui s’est tenu à Lagos ce week-end.
Yuguda a déclaré que la technologie continuerait de jouer un rôle essentiel dans l’élargissement de l’accès à des services financiers abordables.
Yuguda, qui était représenté par le commissaire exécutif chargé des opérations, M. Temidayo Obisan, a déclaré qu’en plus d’élargir l’accès à des services financiers abordables, il fournit également des moyens rentables d’atteindre le marché inexploité, en particulier dans les zones rurales.
Selon lui, il y avait plus de 191 millions et 140 millions d’abonnés mobiles actifs et d’abonnés aux données actifs au Nigeria au 3 octobre 2021.
Yuguda a souligné la nécessité pour les participants du marché de tirer parti de la technologie pour combler l’énorme écart d’inclusion financière qui existe actuellement sur ce marché et amener les personnes non bancarisées dans l’espace financier.
Il a souligné que combler cet écart aiderait à réduire le coût des transactions financières car cela implique peu ou pas de coûts d’infrastructure et offre la plus grande portée.
« Tirer parti de la technologie pour offrir des services financiers présente un avantage par rapport aux moyens traditionnels car il permet de briser les contraintes géographiques. Il simplifie également les moyens de servir les clients existants par exemple grâce à l’utilisation d’agents bancaires mobiles pour effectuer des transactions bancaires.
“Les institutions financières utilisent de plus en plus les canaux électroniques pour intégrer les clients et répondre aux demandes des clients et proposer des offres de produits financiers aux utilisateurs potentiels”, a-t-il déclaré.
Concernant les mesures adoptées jusqu’à présent par la commission pour stimuler l’inclusion financière au Nigeria, Yuguda a déclaré que la SEC travaillait actuellement avec la Fund Managers Association of Nigeria (FMAN) pour accélérer l’inclusion financière dans les programmes d’investissement collectif.
Il a ajouté que la commission proposait un défi hackathon pour aider à développer une suite complète de services mobiles basés sur Internet visant à avoir des processus de bout en bout de l’ensemble du marché des capitaux.
S’exprimant également lors de l’événement, le directeur adjoint de HOD Securities and Investment Services de la SEC, M. Abdulkadir Abbas, a déclaré qu’une collaboration active de toutes les parties prenantes du marché était nécessaire pour aider à conduire l’initiative.
Selon lui, l’adoption de la technologie peut aider à ouvrir le marché des capitaux et à combler le fossé des non bancarisés, ce qui a créé un espace pour la prolifération de points de vente non enregistrés qui ont continué à escroquer les investisseurs de leurs ressources sur le marché.
Il a déclaré : « L’âge moyen de participation au marché des capitaux est de 53 ans alors que le pouvoir est dans les jeunes. Nous devons amener ces jeunes à jouer sur le marché des capitaux.
« Nous avons besoin d’une infrastructure de marché pour conduire cette initiative et de quelques outils pour aider les gens à embarquer dans les zones rurales. Nous avons ces exigences, c’est le point de départ », a déclaré Abbas.
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