Gatonye Gathura : l’enquête sur la mort d’un journaliste se tourne vers les données téléphoniques

Publié le 01 décembre 2021 par Mycamer

Le corps de Gatonye Gathura a été retrouvé jeté le long de la route Naivasha-Mai Mahui le 26 octobre. [Courtesy]

Des détectives enquêtent sur le meurtre d’un journaliste chevronné Gatonye Gathura s’est maintenant tourné vers son téléphone portable pour d’éventuelles pistes.

Ils pensent que les données les aideront à retracer ses derniers instants avant que son corps ne soit retrouvé jeté le long de la route Naivasha-Mai Mahui le 26 octobre.

S’exprimant deux jours après qu’une autopsie a révélé que le journaliste scientifique et sanitaire était tué par strangulation, le patron de la police de Naivasha, Samuel Waweru, a déclaré qu’aucune arrestation n’avait encore été effectuée.

Un câble de recharge pour ordinateur portable a été retrouvé autour de son cou avant que le corps ne soit finalement identifié après un séjour d’un mois à la morgue de l’hôpital du sous-comté de Naivasha.

M. Waweru a déclaré que les détectives cherchaient plus d’informations auprès de l’un des fournisseurs de services de téléphonie mobile pour savoir avec qui le défunt communiquait avant d’être tué.

Le neveu de Gatonye, ​​le Dr Lawrence Nderu, a noté que le journaliste est décédé d’une mort douloureuse.

“La dernière fois qu’il a été en contact avec la famille, c’était en septembre, et nous ignorons toujours le mobile de ce meurtre bestial”, a-t-il déclaré.

Des proches de Gatonye Gathura avec des officiers de DCI à la morgue de l’hôpital du sous-comté de Naivasha, le 29 novembre 2021. [Antony Gitonga, Standard]

Nderu a déclaré que les défunts seraient enterrés aujourd’hui dans leur maison à Limuru.

« Nous avons transféré le corps à Tigoni avant l’enterrement de jeudi. Nous espérons que la police arrêtera les tueurs », a-t-il déclaré.

Au cours des deux derniers mois, plusieurs corps ont été jetés le long de la route Naivasha-Mai Mahiu.

Dans tous les incidents, les victimes, pour la plupart des hommes, ont été tuées par strangulation et n’avaient aucun document d’identité.

Gathura a écrit pour Le standard et le Nation quotidienne, et a dirigé un blog sur la santé et la science appelé Rocket Science (rocketsciences.co.ke).

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Le corps de Gatonye Gathura a été retrouvé jeté le long de la route Naivasha-Mai Mahui le 26 octobre. [Courtesy]

Des détectives enquêtent sur le meurtre d’un journaliste chevronné Gatonye Gathura s’est maintenant tourné vers son téléphone portable pour d’éventuelles pistes.

Ils pensent que les données les aideront à retracer ses derniers instants avant que son corps ne soit retrouvé jeté le long de la route Naivasha-Mai Mahui le 26 octobre.

S’exprimant deux jours après qu’une autopsie a révélé que le journaliste scientifique et sanitaire était tué par strangulation, le patron de la police de Naivasha, Samuel Waweru, a déclaré qu’aucune arrestation n’avait encore été effectuée.

Un câble de recharge pour ordinateur portable a été retrouvé autour de son cou avant que le corps ne soit finalement identifié après un séjour d’un mois à la morgue de l’hôpital du sous-comté de Naivasha.

M. Waweru a déclaré que les détectives cherchaient plus d’informations auprès de l’un des fournisseurs de services de téléphonie mobile pour savoir avec qui le défunt communiquait avant d’être tué.

Le neveu de Gatonye, ​​le Dr Lawrence Nderu, a noté que le journaliste est décédé d’une mort douloureuse.

“La dernière fois qu’il a été en contact avec la famille, c’était en septembre, et nous ignorons toujours le mobile de ce meurtre bestial”, a-t-il déclaré.

Des proches de Gatonye Gathura avec des officiers de DCI à la morgue de l’hôpital du sous-comté de Naivasha, le 29 novembre 2021. [Antony Gitonga, Standard]

Nderu a déclaré que les défunts seraient enterrés aujourd’hui dans leur maison à Limuru.

« Nous avons transféré le corps à Tigoni avant l’enterrement de jeudi. Nous espérons que la police arrêtera les tueurs », a-t-il déclaré.

Au cours des deux derniers mois, plusieurs corps ont été jetés le long de la route Naivasha-Mai Mahiu.

Dans tous les incidents, les victimes, pour la plupart des hommes, ont été tuées par strangulation et n’avaient aucun document d’identité.

Gathura a écrit pour Le standard et le Nation quotidienne, et a dirigé un blog sur la santé et la science appelé Rocket Science (rocketsciences.co.ke).

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