On ne parle plus beaucoup de ce réalisateur polonais très controversé, Andrzej Zulawski, depuis sa disparition en 2016, ni de ses films révélant un univers cérébral, cruel et chaotique dans lequel les sentiments se rencontrent dans une splendide mise à nu de la matière humaine. Cherche-t-on désormais à brûler ce cinéma d’auteur à la fois singulier, exigeant, onirique, expressionniste, violent, en marge du politiquement correct ? Cette chronique est parue dans le numéro 35 de Livr'arbitres, en septembre 2021. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.