Elora le numéro 1 de la vente à domicile ne connait pas la crise, au contraire la marque évolue et s'investit ! J'ai eu le plaisir d'interviewer Catherine conseillère Elora qui est dans sa deuxième saison et qui a pris le temps de répondre à mes questions. Elle a travaillé douze ans pour un de leur concurrent. Ce changement signifiait un saut dans l'inconnu avec des tas de questions dans sa tête : va-t- elle réussir et conserver tout où seulement une partie de ses clients ? Vont-il la comprendre et la suivre dans ce nouveau départ ? Aujourd'hui elle n'a aucun regret d'avoir "osé" et vit sa nouvelle vie comme activité avec sérénité. Sa famille la trouve "apaisée" quant à Catherine elle affiche le sourire, la bienveillance et l'énergie d'une femme "épanouie" on peut donc dire que le pari est réussi !
Mais Catherine, ce changement, ce virage professionnel, qu'en ont pensé tes clientes ? Comment l'as-tu vécu, pris, envisagé ?
Concernant la collection homme je n'ai pas encore tenté d'atelier, c'est peu fréquent même chez mes collègues plus anciennes. Par contre pour ces messieurs nous avons un système de box. Je fais livrer à Monsieur 16 pièces dans les tailles qu'il m'aura indiquées. Il essaie tranquillement, il conserve les articles qui lui conviennent, me les règle et renvoie le reste gratuitement chez Elora. Un homme n'a pas du tout la même façon de voir les choses que nous (sauf si ce sont des gars qui adorent la mode et changer souvent). Il va s'acheter des vêtements parce que la chemise qu'il porte depuis 10 ans est usée ou parce qu'il a pris où perdu du poids et qu'il n'a pas d'autre choix que de la renouveler et dans le même temps un homme est moins difficile à habiller. D'ailleurs souvent c'est madame qui choisit. C'est aussi avec cette box que j'ai eu le premier contact avec les modèles de la marque Elora et autant te dire que mes fils et mon mari adorent. Les points positifs : un style plus tendance et même affirmé sur certaines pièces, la box homme est une idée géniale et la boutique en ligne pour chaque vendeuse (nos clientes peuvent y trouver des petits prix des saisons précédentes, celles qui sont loin commandent et se font livrer et la vendeuse est commissionnée).Les points à améliorer : Difficile à dire quand on sait que je ne suis chez Elora depuis deux saisons.... plus qu'un point ce serait une idée... faire une box femme où la cliente peut donner ses préférences à la personal stylist du genre "j'aimerais essayer toutes les robes dans ma taille". En effet, la box homme ne coûte rien à la personal stylist puisque c'est la société qui l'envoie directement alors pourquoi ne pas faire la même chose au féminin?? Mon projet :Développer ma région Moselle en personal stylist. Mes objectifs : Développer ma clientèle rencontrer de nouvelles futures fan elora et surtout M'ECLATER dans mon job, un sentiment que j'avais complètement perdu chez Captain. Par contre je pense qu'il ne faut pas citer captain non?! mon interview ne doit pas être perçue comme une critique de mon ancien partenaire business. En fait je pense que j’étais presque partie il y a deux ans, c’est grâce à Sylvie et mon amie Nathalie de Strasbourg que j’ai regardé ailleurs Mine de rien je regardais les collections j’écoutais mes copines qui me parlaient d’elora et puis j’ai testé la box homme…. Sauf que je n’étais pas prête tu sais malgré le harcèlement moral subi c’est pas facile de partir en laissant tout derrière. Je laissais une équipe et donc la stabilité financière qui va avec j’ai laissé 2 voyages gagnés durement bref le déclic a été un n-ieme coup de ma responsable bien dans le dos tu vois et là j’ai pete un câble eu un entretien avec la DG mais le mal était fait. Et puis il y a un truc qui a fini d’appuyer ma décision. C’est que j’avais été contactée par le DRH de chez Charlott’ Lingerie qui me proposait de postuler pour être responsable régional salariée dans le grand estEt là je me suis dit OK j’ai de la valeur pour quelqu’un qui me connaît pas ou presque pas uniquement par les réseaux sociaux et je n’en ai pas de la part de l’entreprise avec laquelle je travaille depuis 12 ansLà j’ai ditSTOP