Caroline du Nord, États-Unis – Les résultats d’une étude menée par J. Timothy Lightfoot et son équipe de l’Université de Caroline du Nord, prouveraient que le niveau d’activité serait en partie déterminé par la génétique.
Utilisant des souris sélectionnées en fonction de leur niveau d’activité, l’équipe aurait identifié une vingtaine de sites génomiques qui influenceraient le niveau d’activité des animaux.
L’identification de telles zones génétiques est une première et J.T. Lightfoot pense que des zones analogues pourraient exister chez l’Homme. Une nouvelle étude, menée sur des hommes et des femmes, devrait donc bientôt être conduite.
Les résultats de la première étude sont parus dans le dernier numéro du Journal of Heredity, un titre de presse spécialisée consacré à la génétique.