L’investiture du candidat aux présidentielles pour les républicains est l’objet d’une grande surenchère sur le nombre de postes de fonctionnaires à supprimer.
Entre 150 000 à 200 000 postes pour Valérie Pécresse, Éric Ciotti lui propose d’en supprimer 250 000, en écho de quoi le Figaro s’interroge le 29 octobre sur la meilleure façon de dégraisser le mammouth administratif.
Pour la droite sarkozienne peu importe que l’hôpital public souffre de manque de postes et d’un absentéisme nourri par le peu de considération du gouvernement, peu importe que tous les services publics manquent de personnels et de moyens, à la Poste, dans les transports, à l’école, dans la médecine du travail, dans la justice, dans la police, dans les services publics de proximité, etc…
Les fonctionnaires du quotidien et les structures publiques ont permis à notre pays de faire face à la crise sanitaire, la droite n’a rien retenu de tout cela, une seule chose compte « le marché ».
Section PCF de Sète