Grâce à d’habiles mesures sanitaires, finement calibrées et intelligemment mises en place, c’est sûr, la France a maintenant retrouvé sa Vidavan, cette époque sympathique où les citoyens vaquaient niaisement à leurs occupations sans montrer un QR-code à chaque coin de rue, les fous.
Ce Mondaprès, louangé par la caste au pouvoir, nous permet de retrouver tout le parfum de la Vidavan mâtiné de fragrances nouvelles à base de contrôle social, de ségrégation hystériques et d’une bonne dose de haine de l’autre facilement désigné comme coupable pratique d’une liste toujours plus longue de méfaits. Chaque semaine qui passe ajoute un peu de terre sur le cercueil des libertés, et, si l’on s’en tient aux médias officiels, tout le monde semble applaudir ces changements des deux mains et des deux pieds.
Mieux encore, avec une gourmandise même pas cachée de la part de ces médias, on se précipite pour chaque nouvelle louchée de déclarations grandiloquentes et mensongères d’un Macron clairement ivre de pouvoir et intoxiqué par l’opinion que ses caudataires forment de lui : à chaque fois qu’il le peut, il prend prétexte de l’une ou l’autre statistique sanitaire plus ou moins bidonnée pour imposer de nouvelles turpitudes au peuple français qu’il méprise.
Officiellement, même si ce qu’il annonce n’est qu’une série d’âneries, de gabegies ou de nouvelles punitions scandaleuses, personne n’y trouve rien à redire.
De la même façon qu’on multiplie maintenant les messages absurdes dans un silence voire une approbation journalistique presque complets, il n’y a personne pour fustiger les mesures vexatoires supplémentaires, les dépenses inutiles additionnelles et les idées loufoques imposées à tous…
Et ce, de la même façon qu’il n’y a eu personne pour s’offusquer ouvertement du peu de sérieux de la vaccination en cours où on nous propose de mélanger les produits : un petit shot de Moderna après un J&J, c’est ok, ou un triplet Astra, Moderna, Pfizer, c’est parfaitement cool et c’est même mieux qu’un schéma « classique » ! Le fait qu’aucune étude (et certainement pas en double aveugle) ne puisse décemment le prouver donne une assez bonne indication de la « science » derrière ces improvisations bricolistiques.
De la même façon, personne ne semble s’émouvoir de la rapidité avec laquelle le principe de précaution a été dissous dans l’acide médiatique républicain : ce principe serait indispensable pour les OGM ou les pesticides, mais absolument pas lorsqu’on parle d’injecter un produit nouveau sur des enfants de 5 ans.
De la même façon, personne ne semble s’agacer de la mise en place puis de l’extension des pass sanitaires alors même qu’il est clairement établi que les vaccins liés à ces pass n’empêchent absolument pas ni de transmettre ni de contracter la maladie. En somme, les médias et les politiciens trouvent légitime d’empêcher plusieurs millions de personnes de commercer ou de se socialiser sur une base non seulement arbitraire mais aussi dangereuse dans la mesure où les vaccinés, non testés puisque munis de leur petit QR code, deviennent les principaux vecteurs épidémiques.
À part quelques groupies idiotes de ce mécanisme ségrégationniste immonde, personne n’est dupe : la délivrance des pass n’est plus qu’une distribution de hochets pour gratifier des gens frustrés de ne pas pouvoir exercer une discrimination positive pour eux-mêmes, et un instrument politique redoutable dans les mains de gouvernants sans plus aucun scrupule : n’ayant jamais eu le moindre contrôle sur les virus, les voilà qui contrôlent plutôt les individus.
La décontraction est totale dans la mise en place des pires idées ; Christophe Barbier peut ainsi balancer les pires les saloperies dans une relative indifférence, la « cancel culture » ou la pression sociale qui prévaut pour d’autres ne le touchera pas. Apparemment, cet hiver, la mode appariera décidément très bien l’écharpe rouge à la chemise brune.
Parallèlement aux pitreries sadiques du président de la République et de ses sbires les plus obséquieux, les données économiques montrent toute l’ampleur des dégâts engendrés par ces néfastes : l’inflation, présentée comme transitoire, commence déjà à picoter, les bulles (immobilière, boursière) s’accumulent avec des signes inquiétants, et la vie politique du pays semble suivre la même trajectoire délétère.
La démocratie occidentale n’est plus qu’une vaste blague, un théâtre d’ombres, dans lequel on est en train de dissoudre droits de l’homme, secret médical, liberté de déplacement, de commerce et d’expression, sans qu’aucun média ne fasse 5 colonnes à la une de cet effondrement de toutes nos valeurs.
En France, il devient difficile de ne pas noter à quel point la presse polarise actuellement les citoyens avec des histoires d’immigration et d’insécurité, certes bien importants mais malheureusement secondaires face à la mise en pièce de toute la société sous le joug du pass et des mesures sanitaires hystériques. Pire encore, on peut même douter que l’insécurité ou l’immigration seront réellement dans l’esprit du prochain président (quel qu’il soit), et que l’actuelle focalisation des citoyens sur ces sujets va permettre de faire passer en douce encore plus de mesures atroces, poussant le pays vers le collectivisme le plus dur.
Soyons réalistes : on est passé de « deux semaines pour endiguer les morts et éviter la surcharge des hôpitaux » à deux années de confinements, de couvre-feux, des procédures médicales obligatoires pour conserver son job, une troisième dose bientôt indispensable, une vaccination des enfants (pourtant sans risques pour cette maladie) et jusqu’à des propositions détendues de traque des déviants, avant les goulags (qu’on renommera pudiquement camp de quarantaine pour ne pas effaroucher le quidam).
En réalité, il n’y a plus rien qui justifie ces dérives totalitaires et il n’y a plus lieu de savoir si nous sommes en dictature ou pas : nous y sommes sans le moindre doute, et le fait qu’on conserve les apparences de liberté d’expression (lourdement écrabouillée par la cancel culture et la pression sociale) et le théâtre législatif dans lequel certains sénateurs font mine de s’opposer à la chambre d’enregistrement parlementaire n’y change absolument rien.
Il n’y a plus d’opposition, plus de discours alternatif, plus de remise en question dans la marche forcée vers un tout sanitaire et une surveillance totale de tous et de chacun, quoi qu’il en coûte.
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