L’un des fléaux les plus pénibles quand on habite un immeuble, c’est le bricoleur ! Si le termite est certainement plus dangereux, lui au moins commet son délit silencieusement, ce qui n’est pas le cas de notre bricoleur. Depuis trois mois je joue de malchance puisque trois appartements de mon escalier ont été revendus successivement, ce qui signifie que trois nouveaux arrivants se livrent depuis lors à de grandioses travaux de rénovation à faire pâlir de jalousie les bâtisseurs de cathédrales ou de pyramides. L’immeuble est devenu soudain une ruche où le bzz ! bzz ! des abeilles a été remplacé…