TIRE RAPIDE AVEC JACKSON DYORA
Jackson Dyora est le fondateur et Chief Technology Officer (CTO) de Technologie agricole de Khula. Khula fournit aux agriculteurs à petite échelle et à taille commerciale des logiciels et un marché pour développer leur entreprise.
Expliquez votre travail à un enfant de cinq ans
Je prends note de ce que les gens veulent (exigences), puis je prévois avec mon équipe (sprints) de commencer à assembler les pièces du puzzle (codage) pour créer une application qui peut être installée sur votre téléphone pour faire un certain nombre de choses comme effectuer des transactions ou jouer à des jeux.
Mon travail comprend d’autres responsabilités au-delà du codage, pour le moment. Je suis passé à un poste de direction où je dois m’assurer que l’application fonctionne tout le temps.
Qu’est-ce que vous auriez aimé savoir plus tôt dans votre carrière/vie ?
La spécialisation est importante, mais vous avez besoin d’une bonne équipe qui veillera toujours sur vous. Pour créer un produit ou une entreprise à succès, il ne suffit pas de coder. Il existe une idée fausse selon laquelle si vous savez coder, vous êtes certainement sur la bonne voie pour bâtir une entreprise prospère. Il est faux. Vous avez besoin à la fois de compétences techniques et d’autres compétences commerciales pour réussir.
De quelle réalisation (singulière) êtes-vous le plus fier ?
Pour moi, c’est voir quelque chose qui n’était qu’une idée se transformer en une application qui fonctionne sur un téléphone et qui est utilisée par le public. Il n’y a rien d’incroyable.
Qu’est-ce que tu aimes faire mais pour lequel tu es terrible ? Et qu’est-ce que vous n’aimez vraiment pas faire mais dans lequel vous excellez ?
Je pense que je suis vraiment mauvais en graphisme, mais je continue de le faire parce que lorsque nous avons créé l’entreprise, j’étais le seul développeur. J’ai dû coder à la fois le frontend (interface utilisateur graphique du site Web) et le backend (la partie du site Web que vous ne voyez pas mais qui aide le site Web à fonctionner). J’étais horrible à ça, mais je devais apprendre et le faire. Même maintenant, je ne suis pas le meilleur en développement frontend, mais je continue d’apprendre et de pousser parce que je ne veux pas abandonner.
D’un autre côté, je suis vraiment doué pour détecter et supprimer les erreurs existantes et potentielles (débogage), mais le processus prend du temps et est monotone. Je le fais toujours parce que je ne veux pas que notre système tombe en panne.
Comment gérez-vous le burn-out ?
Je n’ai pas de méthode particulière. Tout d’abord, j’essaie de me reposer le plus possible. Ensuite, j’ai remarqué que passer du temps et faire des choses pour mes proches me donne un regain d’énergie.
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L’EGYPTE RETIRE SON PLAN SUR 10 ANS
L’Égypte est en passe de devenir l’une des principales plaques tournantes mondiales du transport et de la logistique d’ici 2024.
Il ne reste que deux ans pour y parvenir, mais tout a commencé en 2014. Alors que le monde regardait le Brésil organiser sa deuxième Coupe du monde, l’Égypte a mis en place un plan décennal pour moderniser les transports et les communications à l’intérieur du pays à hauteur de 106,3 milliards de dollars.
Le 6
A ne pas confondre avec Le surnom du musicien Drake pour Toronto, Canada, le plan décennal de l’Égypte couvre six domaines principaux du secteur des transports et de la logistique, notamment les routes, les ponts, les chemins de fer, le transport maritime et le transport fluvial, pour n’en nommer que quelques-uns. Deux ans plus tard et le pays est en bonne voie pour atteindre son objectif. Selon le ministre égyptien des Transports Kamel al-Wazir, des projets d’une valeur de 82 409 539 450 $ ont déjà été mis en œuvre.
Pour l’amour de la logistique
La « logistique » a été un mot à la mode dans l’industrie technologique africaine ces derniers temps. Depuis le début de l’année, les startups africaines du transport et de la logistique ont reçu 200,77 millions de dollars plus de 37 tours de financement. Le financement total dans le secteur a également augmenté 264,6 % de 2018-2019.
Une grande partie de cela a été attribuée à la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), qui a débuté en janvier de cette année. Fondée en 2018, la ZLECAf comprend 54 des 55 nations africaines et est la plus grande au monde en termes de pays participants. L’objectif global est de stimuler le commerce interafricain et d’encourager le développement industriel en Afrique. Le temps nous dira quel sera l’impact à long terme de la ZLECAf, mais pour l’instant, son influence sur le secteur de la logistique se fait certainement sentir.
REJOIGNEZ LE COLLECTIF AFRIQUE DU FUTUR
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APERÇU DES TALENTS TECHNIQUES DU GHANA
Le Ghana est actuellement le 13e pays africain le plus peuplé avec une population d’environ 31 millions de personnes en croissance de 2,2 % par an. Approximativement 57% de sa population a moins de 25 ans, signe que le Ghana et d’autres pays africains fourniront un pourcentage disproportionné de la population mondiale en âge de travailler dans les années à venir.
Avec ça en tête, Fondation Hacklab, une organisation à but non lucratif axée sur la préparation des jeunes à de futurs emplois, a mené une enquête pour mieux comprendre l’état des développeurs au Ghana et fournir des informations qui informeront les décideurs politiques, les instituts d’apprentissage, les employeurs et autres parties concernées.
L’enquête a impliqué la participation de 272 développeurs (la plupart âgés de 20 à 30 ans) au Ghana, couvrant tout, des technologies préférées des développeurs à leurs préférences professionnelles.
Voici quelques faits saillants du sondage:
Concentration géographique : 70% des personnes interrogées sont originaires de la région du Grand Accra. Un signe que la population de développeurs est toujours fortement concentrée en un seul endroit malgré le fait que le Ghana compte 16 régions.
Langues les plus utilisées : HTML/CSS, JavaScript, Python et SQL sont les langages les plus utilisés par les développeurs ghanéens, tandis que le moins utilisé est Swift.
Plateformes utilisées : : Windows est la plateforme de développement la plus utilisée, grâce notamment à son succès auprès des étudiants. WordPress, Android, Linux et Heroku sont également largement utilisés. Pour l’avenir, les personnes interrogées souhaitent apprendre à travailler avec des plateformes cloud, en particulier AWS, pour les développeurs professionnels et Microsoft Azure pour les étudiants.
GitHub est de loin l’outil de contrôle de version le plus populaire. Slack est la plateforme de communication d’entreprise la plus utilisée, tandis que Facebook Workplace est la moins utilisée.
Cadre Web : React.js est le framework Web le plus populaire, tandis que Ruby on rails est le moins populaire. L’intérêt pour Django et Vue.js augmente.
Communautés de développeurs : Plus de deux répondants sur trois sont membres d’une communauté de développeurs. Sur les 122 communautés mentionnées par les répondants, les trois plus grandes communautés auxquelles ils ont indiqué être membres étaient DevCongress (13,6%), Facebook Developer Circle (9,6%) et la Hacklab Foundation (7,4%).
Heures supplémentaires et rémunération : Soixante-deux pour cent des répondants ont indiqué recevoir un salaire mensuel inférieur à 2 000 GHS (~ 330 $), ce pourcentage tombe à 47,5 % pour les répondants qui ont indiqué être des développeurs professionnels. Environ 50 % des personnes interrogées effectuent des heures supplémentaires 3 jours ou plus par semaine.
Dézoomer: L’année dernière, un rapport IFC/Google a indiqué qu’il y avait près de 700 000 développeurs professionnels en Afrique, dont plus de la moitié sur cinq marchés africains : l’Égypte, le Kenya, le Maroc, le Nigéria et l’Afrique du Sud. Un nombre encore relativement faible par rapport aux 1,3 milliard d’Africains. Le rapport de la Fondation Hacklab fournit des informations utiles sur la manière de canaliser les ressources vers la formation et l’aide aux développeurs au Ghana.
Creusez plus profondément : Lire le Hacklab Ghana Developer Census 2020 ou Regardez l’équipe explique le rapport.
NE MANQUEZ PAS #AVEC CHUDE
Iyin Aboyeji, la force derrière certaines technologies de rupture au Nigeria, parle de #Avecchude sur le voyage dans l’espace technologique et le désir de nouveaux acteurs dans le domaine.
Ne manquez pas les samedis #WithChude à 7h le watch.withchude.com et sur ChannelsTV Nigeria à 13 heures.
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TC INSIGHTS : SUIVI DU FINANCEMENT
Cette semaine, la startup africaine des paiements transfrontaliers, Chipper Cash, a annoncé l’extension de son tour de série C avec un montant de 150 millions de dollars. augmenter mettant sa valorisation à un peu plus de 2 milliards de dollars. L’investissement a été dirigé par FTX, la société d’échange de dérivés cryptographiques la plus précieuse détenue par le plus jeune milliardaire du monde, Sam Bankman-Fried.
Voici les autres offres de la semaine :
- Breadfast, une startup de livraison d’épicerie basée en Égypte soulevé 26 millions de dollars de financement de série A. Le cycle a été co-dirigé par Vostok New Ventures et Endure Capital, avec la participation de JAM Fund, YC Continuity Fund, Shorooq Partners, 4DX Ventures et Flexport.
- Plateforme agrotechnologique kenyane, Twiga, sécurisé 50 millions de dollars dans un tour de table de série C. Creadev a mené le cycle avec la participation de Juven, TLcom Capital, IFC Ventures et DOB Equity, tandis que OP Finnfund Global Impact Fund I et Endeavour Catalyst Fund étaient de nouveaux investisseurs.
- La startup nigériane de la fintech, Payhippo, sécurisé 3 millions de dollars de Ham Serunjogi et Maijid Moujaled, co-fondateurs de Chipper Cash ; Olugbenga Agboola, PDG de Flutterwave ; Bolaji Balogun, PDG de Chapel Hill Denham ; et Hakeem Belo-Osagie, fondateur de Metis Capital Partners. Des investisseurs providentiels de Paystack, Brex et Tala ont également participé au tour. TEN13, VentureSouq et Prodigio Capital ont été les seules entreprises institutionnelles à avoir émis un chèque pour ce tour.
- Bypa-ss, une startup du secteur de la santé en Egypte, fermé un tour de pré-amorçage de 1 million de dollars avec la participation de Magic Fund, Acuity Ventures, Launch Africa, Plug and Play, avec d’autres VCs régionaux et internationaux.
- La start-up égyptienne de livraison d’épicerie, Appetito, soulevé 2 millions de dollars de Jedar Capital, un capital-risque américain en phase de démarrage se concentrant sur la région MENA et l’Asie émergente, avec une participation supplémentaire de Golden Palm Investments, DFS Lab ainsi qu’un groupe d’investisseurs providentiels et de family offices de premier plan.
- Entreprise de mobilité électrique basée au Rwanda, Ampersand sécurisé une facilité de prêt de 9 millions de dollars de la US International Development Finance Corporation (DFC).
- Opibus, start-up de mobilité électrique basée au Kenya, soulevé 7,5 millions de dollars en fonds propres et en subventions. Le cycle a été mené par le fonds de la Silicon Valley At One Ventures et soutenu par Factor[e]Ventures et Ambo Ventures.
- La startup fintech nigériane, Lemonade Finance, soulevé 725 000 $ de Y Combinator, Microtraction, Ventures Platform et Acuity Venture Partners. Plusieurs investisseurs individuels y ont également participé.
- La startup sud-africaine FinMeUp soulevé un montant non divulgué de ZAQ Ventures.
C’est tout ce que nous avons cette semaine.
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OPPORTUNITÉS D’EMPLOI
Chaque semaine, nous partageons les opportunités d’emploi dans l’écosystème africain.
Il y a plus d’opportunités ici. Si vous souhaitez partager une offre d’emploi ou une opportunité, veuillez remplir ce formulaire.
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