Elle répétait souvent que le monde commençait et finissait en haut de la falaise d’Étretat, aussi sûr que deux et deux font quatre. Je lui répondais qu’on ne peut pas appliquer à une opinion personnelle basée sur une impression la rigueur de l’arithmétique. Alors elle me regardait un moment, silencieuse, comme si elle observait une bestiole disséquée en cours de sciences puis elle se mettait à rire. Ensuite, elle se mettait sur son ordinateur et commandait deux billets de train pour Étretat